Lyon : une adolescente de 14 ans se jette du 7e étage
Publié le 08.10.2012,
. La jeune fille, qui habite le quartier populaire des Minguettes, «est tombée sur une voiture et son pronostic vital est engagé», a indiqué la police, confirmant partiellement une information d'Europe 1. | (AFP)
ILLUSTRATION. La jeune fille, qui habite le quartier populaire des Minguettes, «est tombée sur une voiture et son pronostic vital est engagé», a indiqué la police, confirmant partiellement une information d'Europe 1.| (AFP)" href="http://www.leparisien.fr/images/2012/06/20/2057749_police-new.jpg">
Une adolescente de 14 ans s'est jetée lundi du septième étage de son immeuble dans la banlieue lyonnaise, pour une raison encore inconnue, et était entre la vie et la mort dans la soirée, a-t-on appris auprès de la police et des pompiers. La jeune fille, qui habite le quartier populaire des Minguettes, «est tombée sur une voiture et son pronostic vital est engagé», a indiqué la police, confirmant partiellement une information d'Europe 1.
Les policiers n'ont en revanche pu confirmer l'existence d'un «mot» dans lequel l'adolescente «se disait harcelée au collège», et qui aurait poussé son frère à se rendre devant l'établissement avec un couteau «dans un esprit de vengeance», comme l'écrit Europe 1 sur son site internet.
Le frère «a eu un comportement violent qui a fait qu'il a été interpellé», avant d'être remis en liberté en fin de journée, a précisé une source judiciaire, ajoutant que les motivations de l'adolescente n'étaient «pour l'heure pas claires».
Les policiers n'ont en revanche pu confirmer l'existence d'un «mot» dans lequel l'adolescente «se disait harcelée au collège», et qui aurait poussé son frère à se rendre devant l'établissement avec un couteau «dans un esprit de vengeance», comme l'écrit Europe 1 sur son site internet.
Le frère «a eu un comportement violent qui a fait qu'il a été interpellé», avant d'être remis en liberté en fin de journée, a précisé une source judiciaire, ajoutant que les motivations de l'adolescente n'étaient «pour l'heure pas claires».
LeParisien.fr
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