Stern Verrière Elisabeth psychiatre à problèmes ?

Stern Verrière Elisabeth psychiatre à problèmes ?
22 mai 2011 | 1 Comment »
Je vous ai déjà parlé de ce qui est arrivé à la famille de Michel PREVIDI mais pour ceux qui ne s’en souviennent pas voici un résumé de son effroyable histoire.

Vous trouverez aussi le dernier déroulement de cette affaire car devant l’énorme volonté de Michel PREVIDI voulant que justice soit faite, la psychiatre Stern Verrière a porté plainte contre lui ; il vient de passer deux jours en garde à vue étant donné qu’il a eu l’audace de manifester devant l’hôpital où celle-ci exerce et de se présenter toujours très calmement devant son habitation le matin quand elle partait travailler.

La « pauvre femme » est tombée malade devant le courage de cet homme qui je le rappelle a perdu ses deux filles et sa femme suite à l’intervention de cette psychiatre.

Je vous laisse seuls juges pour savoir ce que vous devez en penser ; comme le dit Michel PREVIDI dans sa fin de lettre, je trouve bizarre qu’en quelques jours la plainte de la psychiatre Stern Verrière contre lui a été suivie d’actions alors que la plainte qu’il a porté contre un psychiatre il y a plus de deux ans n’a toujours pas eu de suite.

Le Webmaster

Résumé :
Pour les psychiatres nous sommes tous des caves. La preuve en est que depuis des décennies ils nous gavent de poisons sous prétexte que cela va nous soigner. Si c’était le cas nous le saurions n’est-ce pas ? Mais voilà, malgré le fait que la psychiatrie se refuse depuis plus de cent ans de faire faire des statistiques par des organismes indépendants sur leur soi-disant « réussite », ils continuent à détruire les gens autour de nous.
C’était sans compter sur la venue inattendue, dans la liste des crimes qu’ils commettent, de Monsieur Michel PREVIDI.
Qui est-il ? Un homme comme vous et moi qui jusqu’il y a deux ans vivait heureux au sein de sa petite famille. Le drame fut qu’une de ses filles eut besoin de soins et alla voir un psychiatre, le sauveur, pensaient ces personnes. Malheureusement non, parce qu’après quelques longs mois de « soins » sa fille alla se jeter sous un train, à cause d’une psychiatre qui faisait n’importe quoi.
Je ne vais pas détailler plus en avant ce qui s’est passé exactement (pour cela vous n’aurez qu’à visiter le site psycho-mania) mais je vous joins la lettre que ce malheureux père vient d’écrire à la psychiatre en question.
Je porte à votre connaissance qu’il a engagé deux avocats pour faire rendre justice dans ce drame qui débuta par la mort de sa fille puis quelques mois plus tard par la mort de sa femme et de son autre fille.
C’et le combat juste et indispensable d’un homme face à la psychiatrie pour que la mort de sa chère fille serve au moins à quelque chose : dénoncer ce qu’est VRAIMENT la psychiatrie.

(Webmaster).

Madame Stern Verriére Élisabeth

En prescrivant des médicaments psychotropes à ma fille Virginie, et en sachant par son dossier médical qu’elle présentait une tendance à s’alcooliser et donc qu’elle était alcoolodépendante (comme prés de deux millions de français (rapport Chabalier)), vous l’avez maintenu pendant la période de soins ambulatoires (CMP de La Garde) dans un état permanent de souffrances psychiques dû au mélange de ces deux éléments.
Il est évident et reconnu par les professionnels de santé, dont vous faites partie, que ces mélanges créent des états de crises de mal-être énormes, avec tous les symptômes que cela engendre, pouvant amener au RAPTUS SUICIDAIRE.
Quand je pense à tout ce que ma fille a souffert pendant ses crises, je ne puis que penser que vous en avez l’entière responsabilité, car, vous personnellement, ainsi que tous les psychiatres, connaissez les problèmes et les risques dus à la prise de médicaments psychotropes avec de l’alcool.
Ces risques sont bien expliqués sur les fiches d’identification de chaque produit, notamment l’AOTAL dont il est bien précisé que la prise de ce médicament ne se conçoit pas sans l’arrêt préalable de toute boisson alcoolisée, ainsi que l’ensemble de tous médicaments psychotropes ; c’est écrit sur toutes les notices et descriptifs de ces produits. Je ne pense pas vous l’apprendre, car vous savez mieux que moi ce qu’est une addiction et que l’on ne peut maîtriser le besoin de consommer, même sous l’emprise de différents médicaments psychotropes.
Alors pourquoi prescrivez-vous aux personnes alcoolo-dépendantes ce genre de médicament? De ce fait vous maintenez toute une population de gens vulnérables dans des états de souffrance en pensant pouvoir calmer ou faire cesser leur addiction. Soit vous rêvez, soit vous êtes inconsciente, soit vous le savez et là ce n’est pas tolérable.
Pour votre information, la seule façon de soigner les problèmes d’addiction, c’est de diriger ces personnes vers un centre de cure spécialisé (sevrage physique et surtout psychologique) et surtout pas en hôpital psychiatrique. Il en existe plus de cinquante en France, mais en parler à ces personnes ou aux parents, c’est certainement vous priver d’une clientèle fidélisée… vous préférez fourguer toute une panoplie de médicaments qui vous rapporteront indirectement quelques avantages, faisant croire au malade, à son entourage et à sa famille qu’il est atteint d’une maladie psychiatrique.
Forcément toutes ces personnes maintenues en souffrance sont classées par vous et vos compères de toutes sortes de maladies psychiatriques créées artificiellement de fait. Les addictions ne peuvent être soignées par la psychiatrie, c’est une hérésie.

D’après de multiple études et constats notamment de l’IREB, il est bien reconnu que la majorité des individus présentant un état dépressif et/ou anxieux, ont un lien avec une consommation chronique d’alcool (entre autre). C’est logique, il n’y a pas besoin d’être médecin pour le comprendre, il est cité également le fait que les antidépresseurs et neuroleptiques (tel que ZYPREXA) augmentent le taux de suicide chez cette catégorie de personnes (zyprexa que vous avez prescrit à ma fille), un rapport médical le précise.

Je m’en voudrai jusqu’à la fin de mes jours de n’avoir pas su tout cela avant, ce qui aurai évité à ma fille Virginie (ainsi que toute ma famille), de subir toutes ces souffrances causées par les prescriptions abusives de médicaments psychotropes qui ont amené ma fille à se suicider (raptus suicidaire qui est très différent d’un suicide classique).
Il est grand temps qu’il soit reconnu que les psychiatres fabriquent des malades par leur ignorance voulue et obstinée. Madame Stern Verriére, depuis un an et demi je vous demande par différents moyens d’avoir accès comme la loi m’y autorise au dossier médical de ma fille ; depuis tout ce temps vous utilisez des excuses et stratagèmes qui sont indignes d’un médecin, déclinant votre responsabilité personnelle aux dépens de l’hôpital psychiatrique de Pierrefeu, pensant échapper au tribunal de grande instance et donc aller au tribunal administratif, ce qui ferait reculer d’environ quatre à cinq ans, la date du procès pour empoisonnement que je vais intenter.

Vous substituant à la justice en évoquant, le fait que le dossier médical ne comporte pas d’éléments permettant de répondre à des questions, refusant de communiquer l’intégralité du dossier médical, pourquoi ? De quoi avez-vous peur ?
Et lorsque, confronté au juge d’instruction vous outrepassez vos droits et devoirs vous êtes lamentable, surtout quand vous me demandez 800 € de dommages et que je sois condamné à tous les dépens. Je ne trouve plus de qualificatifs adaptés.
Je comprends très bien votre ridicule défense, car le jour où je posséderai ce dossier l’angoisse sera pour vous votre quotidien. Vous êtes un danger pour la population, lorsque vous empoisonnez de pauvres personnes qui vous font confiance vu qu’elles sont désemparées, ne sachant plus que faire pour faire face à leur situation critique et destructrice.
Si j’en avais la possibilité je vous ferais ingurgiter autant d’antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, antipsychotiques que vous avez fait avaler à ma fille, la pauvre qui a tant souffert ainsi que sa sœur et ses parents de la voir dans ces états horribles, souffrante gémissante, hurlante de douleur psychique, Madame Élisabeth Stern Verriére vous êtes ignoble, au sens propre du mot.
Le 24 juillet 2010, cela fera deux ans que ma fille Virginie, qui était ma vie, mes yeux, s’est jetée sous le train pour abréger ses souffrances, et je peux vous dire que ma détermination à vous traduire en justice n’en est que plus grande, la rage et le dégoût que vous représentez à mes yeux n’ont pas de limite. Vous le savez, la douleur de la disparition de Virginie a entraîné le suicide quatre mois plus tard de mon épouse et de ma seconde fille Amélie, même lieu, même méthode, mais ce n’était pas un raptus suicidaire, c’était une dégradation lente et inexorable de l’état mental provoquée par la souffrance d’une mère qui n’a plus son enfant et également par le traitement spécial que vous nous avez fait subir lors de notre internement forcé: à savoir séparation physique des trois membres de la famille (le jour de l’incinération des restes du corps de ma fille), robotisés à grands coups de psychotropes dans des bâtiments séparés, portes fermées pendant douze jours avec interdiction de communiquer.
On n’applique même pas ce traitement à des hauts criminels de guerre. Seuls les nazis on fait pire que vous.
Délire de psychiatres infâmes, vous Elisabeth Stern Verriere, Etienne Dominique, le répugnant Tindel, et Kourouma l’illuminé.
C’est mieux ainsi car mon épouse aurait fini sa vie dans un asile, robotisée pour ne plus rien ressentir de cette douleur sans nom.
Aussi, maintenant que je me retrouve seul après trente cinq ans de mariage, je n’ai pas l’intention de poursuivre une vie misérable, vidée de tout souvenir qui pourrait me donner l’envie de rejoindre celles que j’aime par-dessus tout.
Je vous le répète encore une fois, je ne vous lâcherai pas tant que je serai vivant.
Et ne vous faites pas d’illusions, j’ai tout mon temps, des moyens, une détermination à toute épreuve et je n’ai peur de rien.
En attendant le procès et l’issue de ce procès, j’aide concrètement des personnes en détresse et qui sont dans la même situation que ma fille Virginie afin de leur éviter une fin similaire.

Michel Prévidi
http://psycho-mania.com/

Dernier déroulement

Vendredi 20 mai convocation à la gendarmerie de Pierrefeu du var

8 heures 15 je me présente et le gendarme Testanière me dit : « A partir de cette heure considérez-vous en garde à vue » ; motif, dépôt de plainte de la psychiatre SternVerriére Elisabeth pour violences aggravées par 2 circonstances, suivi d’incapacité supérieure à 8 jours pour fait commis de novembre 2010 à mai 2011 à la Crau (var) et réprimés par les articles 222 (12 44 45 et 47)

Pour moi, bonne nouvelle car cela confirme que mes manifs quotidiennes portent leurs fruits ….
Deux heures d’interrogatoire, mis en cellule : quatre murs blancs, volet fermé, une table et une chaise.
Quatorze heures départ pour l’hôpital psychiatrique Chaluzet à Toulon, gyrophare, sirène, présentation à un psychiatre accompagné d’un acolyte visiblement soumis… pour audition.

Connaissant la perversité de ces personnages, je demande la présence d’un gendarme (témoin), refus de ces individus, cause secret médical.
Je refuse de répondre et de poursuivre l’entretien qui j’en suis persuadé aurait comporté des propos défavorables et certainement diffamatoires à mon égard ; vu que ces psychiatres se soutiennent et font généralement partie de sectes telles la franc maçonnerie ou d’autres.

Retour à la gendarmerie toute sirène hurlante (20 kms).

RE interrogatoire, à 17 heures chambre blindée d’isolement, tout accessoire enlevé ; le siphon du WC à pied étant défectueux, une odeur pestilentielle à peine supportable s’en dégageait.
19 heures, une boîte de raviolis et le samedi matin 8 heures départ tribunal de grande instance de Toulon menotté devant, contrairement à Stauss kahn (dans le dos) et toujours sirène et gyrophare.
Rendez-vous à 8 heures 30, mise en dépôt dans les sous-sol du tribunal dans une cellule de 1,5 mètre de large, avec un banc en béton ; j’ai attendu trois heures avant d’être reçu par la juge des libertés et de la détention à 11 h 45 : « Qu’avez-vous à déclarer ? » réponse : « RIEN » « Voulez-vous un avocat ? » réponse : « NON », « Je vous signifie que vous êtes convoqué au TGI le 15 juillet 2011 à 8 H 15 et en attendant vous devrez vous présenter le mardi et le vendredi à la gendarmerie d’une ville de Lorraine où je suis rattaché légalement ». N’ayant pas l’intention de quitter le Var je refuse de signer les conditions, également le fait que je ne dois plus approcher de près ou de loin cette psychiatre empoisonneuse.
Donc vu mon refus de signer, remise en cellule 2 heures, le temps que ces gens trouvent une solution, puis représentation à la juge ….
Devant mon refus d’abdiquer, la juge me fit un sourire et me dit gentiment de ne pas oublier de me présenter à l’audience du 15 juillet.
Je lui rétorque : « Quand il s’agit d’un médecin, c’est assez impressionnant de voir à quelle allure la justice réagit, car pour mon cas, cela fait deux ans et demi que j’ai porté plainte contre le docteur Mansion de Sollies pour faux certificat médical et toujours rien de concret, la justice est visiblement à deux vitesses (no coment).
Elle me répond : « La docteur Stern Verriére est malade » et dans ma tête je pense : « Excellent ! » C’est que je le pense sincèrement car elle à détruit toute ma famille en empoisonnant ma pauvre fille Virginie qui a tant souffert de cet empoisonnement au lourd traitement de médicaments (poison) que cette inconsciente et irresponsable psychiatre lui prescrivait, et moi qui à ce moment n’y comprenais rien dans ces dangereux médicaments psychotropes et qui téléphonais régulièrement à ma fille pour lui dire : « Ma chérie n’oublie pas de prendre tes médicaments ! »
Je m’en voudrai toujours d’avoir participé à son empoisonnement même par ignorance….
Cette femme a à son actif 6 suicides sur la conscience (elle l’a dit au téléphone à la présidente de CCDH), 3 à l’hôpital de Ste Anne à Paris et les 3 de ma famille.
De plus j’ai appris qu’elle a été virée de la prison de la Farléde (var) où elle devait
empoisonner les détenus ?
Actuellement elle travaille au centre St Joseph à la Crau et il faut voir dans quel état sont les pauvres jeunes qui y sont : de véritables zombis.
Cette empoisonneuse a également reconnu que lorsqu’elle recevait ma fille, elle n’avait que peu de temps à lui accorder (donc elle bâclait les prescriptions) parce qu’elle faisait des colloques pour parler de son livre, ce qui l’intéressait plus que de s’occuper de ses patients !

C’est une personne dangereuse et spécialisée dans la prescription de neuroleptiques à hautes doses…
Pour en revenir à ma garde à vue de 32 heures et à l’issue de l’audition, je sortais libre mais je dus rentrer par mes propres moyens à Pierrefeu du var (20 kms) pour récupérer mon véhicule car les gendarmes pour des raisons légales ne pouvaient plus me prendre dans le leur.
A noter que les gendarmes de Pierrefeu du var ont été très corrects tout le temps de cette garde à vue.

Je me présenterai à l’audience du 15 juillet et si je dois aller dans cette prison et bien j’irai, ! J’en sortirai bien un jour et je continuerai mes manifs ailleurs qu’aux endroits interdits, pour moi il est impossible de laisser agir cette femme, malade du cerveau, de continuer à empoisonner des innocents en toute impunité.
Et j’espère que d’autres personnes continuent à dénoncer ses agissements…

Si certains n’ont pas lu mes précédents post, sachez que la psychiatre Stern Verriére Elisabeth a écrit sur le dossier médical de ma fille, que j’ai mis un an et demi à récupérer au lieu de deux mois légalement, dossier qui contient des propos diffamatoires sur ma famille et sur moi-même, disant que le père est BIPOLAIRE, sans m’avoir jamais vu ni entendu ; cette femme a fait un diagnostic fallacieux pour me nuire et lorsque je lui ai parlé au pied de son immeuble rue du roi René à Toulon, elle m’a dit d’une voix mielleuse sans que je lui demande rien : « Vous savez Monsieur Prévidi, vous n’êtes pas BIPOLAIRE ».
C’est bien la preuve qu’elle est malade au sens propre du mot.
Les psychiatres sont dangereux et ceux qui les fréquentent peuvent prendre connaissance d’un traitement naturel sur ce lien :

http://www.baclofene.info/traitement_anti_depression_naturel.pdf

Voici en résumé les événements actuels.

Michel Prévidi