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Je suis un Papa amputé de ses enfants
par papa-en-greve @ 2010-05-11 – 01:37:50
Lundi 17 Mai 2010,
Pour que ceux qui font les lois nous entendent, nous avons à présent un outils qui nous permet d’écrire directement à tous les Députés et tous les Sénateurs de France : usez et abusez de notre Droit de dire notre souffrance : http://www.fildarianeparents.org/
Par Papa-en-grève de la faim.
Le Lundi 10 Mai 2010…
Elle s’appelle Lynda XXXX et habite Montrejeau. Elle est partie le 25 Avril 2005 de notre maison d’Alès (Gard, 30), en emportant nos 3 Filles, Luna 3 ans, Lina 1 an, et notre petite dernière qui devait naître 6 mois plus tard. Il est vrai que j’ai commis une faute grave, en fait, une série de faute grave : tout d’abord, je suis allé à la soirée d’inauguration de ma petite entreprise sans elle (oh ! attention, je lui ai demandé l’autorisation, hein… je lui ai même proposé d’y aller tous ensemble… mais quand elle m’a aboyé dessus, j’ai pris ça pour un oui, mais en fait, c’était un non…euh… je ferai un autre blog pour ma vie de couple avec elle, si le premier blog vous fait rire, vous serez tordu sur votre siège par le second…). Bref, quand je suis rentré chez nous le soir, j’avais l’air reposé, et j’ai commis une seconde erreur : j’ai un peu souris (oui, je sais, quand on se sent reposé et un peu détendu, ce sont des choses que l’on peut sans s’en rendre compte laisser échapper…). Quand elle a vu ça, elle en a immédiatement déduit que je l’avais trompé. Le lundi matin, tout le monde avait disparu : femmes, enfants et valises (Dieu m’en est témoin, je jure sur les têtes de mes enfants que c’est la vérité, et c’est même elle de sa bouche qui est allé jusqu’à raconter cette histoire à ma famille ! ah ah ah… si je n’avais pas assisté à la scène, ne vous inquiétez pas, je n’y croirai pas non plus…ah ah ah !). Je ne vous dis pas que notre vie de couple était reposante, bien sur, on s’engueulait souvent, et peut-être plus que la moyenne, mais voila exactement comment s’est passé son départ.
Mais ce n’est pas tout, car non contente de briser notre famille, elle a aussi pensé que ce serait mieux pour nos enfants qu’elle s’installe vers St Gaudens (à Montréjeau, 31), à environ 450km de notre foyer (mais à une centaine de km de sa Mère : il vaut tout de même mieux qu’elle aie sa mère à coté d’elle, au cas ou il lui manquerait quelque chose à table : “ "Maman, on mange dans une heure et demi, prend ta voiture et apporte moi le sel…” ")
Comment cela s’est passé ? très simplement…
- elle : je quitte la maison dès lundi matin
- moi : tu vas ou ?
- elle : je m’en vais à Toulouse
- moi : ah… mais installe toi sur Alès, je peux essayer de t’aider à trouver une maison, on a bien un copain ou deux pour te filer un job, en attendant de te retourner…
- elle : m’installer à Alès ? pour que je te croise tous les jours ? hors de question, si je m’en vais, c’est pour ne plus jamais te revoir !
- moi : ah…. mais on fait comment pour les Filles ?
Ce à quoi elle tourna les talons et disparue. Et voilà comment la question des enfants fut traitée…
Le lundi soir, je rentrais du travail, femme et enfants avaient disparu. Quelques temps plus tard, constatant qu’elle ne revenait pas, et que sa décision était définitive, j’ai voulu aller porter plainte au commissariat. Mais cela fut impossible. Les forces de l’ordre n’acceptèrent seulement qu’une main courante pour constat d’abandon du domicile conjugal.
Les premiers mois, jouant la souplesse, j’ai accepté de faires les incessants allés-retour Alès-Toulouse pour garder le contact avec mes Filles.
A la fin de l’été 2005, quand j’ai ramené mes Filles après un fabuleux mois de vacance, ma plus petite a dit à sa mère que la nounou de l’époque lui avait tapé sur la main (à ma fille). Je me rappellerai toute ma vie ce jour ou j’ai déposé mes Filles à la clinique (j’avais pris RDV avec le pédiatre à l’époque pour la visite mensuelle, et la mère venait récupérer les Filles dans la foulée)… je ne les reverrai pas avant 65 jours ! La mère s’est volatilisée, en me laissant un texto du genre “ "tu as mis mes Filles en danger, c’est fini, maintenant, c’est le Juge qui tranchera” ". Durant 65 jours, je n’ai presque pas dormi. Même aux urgences, ils ne voulaient rien me donner…. J’ai écris partout, à la Police, au Juge, au Président de la République, à l’Europe, … la seule a qui j’ai pas écris, c’était la mère (ben oui, j’avais pas son adresse…). Ces 65 jours de souffrances resteront à jamais gravé dans mon coeur. Jamais je n’oublierai ces nuits ou j’égrenais les heures, ces jours ou je guettais le moindre coup de fil… cette souffrance qui vous écrase et contre laquelle vous ne pouvez rien, sinon subir subir et subir encore…
Enfin, début Novembre 2005, j’ai vu pour la première fois ma dernière née plusieurs semaines après sa venue au monde, dans les couloirs marbrés du tribunal de Toulouse, alors que le JAF rendait son ONC (ordonnance de non conciliation, précédant le divorce). C’est d’ailleurs ce même jour que j’ai pu revoir mes 2 autres Filles. La mère m’a expliqué qu’elle avait du mettre nos enfants à l’abri, ou quelque chose comme ça… enfin, je ne ferai aucun commentaire, Freud a déjà évoqué ce sujet dans nombre de ses livres : l’hystérie, psychopathologie de la vie quotidienne, et surtout, dans cet excellent ouvrage sur la schizophrénie.
Rassurez-vous tout de même : leur mère s’est bien occupée de mes Filles. J’ai même appris le prénom arabe qui avait été choisie par celle-ci pour ma dernière Fille, un prénom dans lequel je ne me reconnais naturellement pas, mais quelle importance. Comme me l’a expliqué Mr ICHE, de l’ASE de Toulouse, seule l’image de la Mère compte. Il me l’a expliqué grâce aux travaux d’un certain scientifique très intéressant, paraît-il… ça parlait d’image primale, je crois… Alors c’est sur j’avais perdu mes Enfants, mais grâce à l’Aide Sociale à l’Enfance, j’étais quand même nettement plus intelligent le soir en me couchant !
Vous vous seriez énervé contre elle, entends-je ?… oh, oui, bien sur, c’est ce qu’il s’est passé au début. Mais il est vrai que cette femme est très légèrement… au dessus de l’intelligence moyenne, figurez-vous : elle s’arrangeait souvent pour provoquer mes colères et récupérer derrière une lettre de son amie, ou de nos voisins attestant, la main sur le cœur, que j’étais un homme violent (un jour, elle a mis sa voisine dans son salon, et quand je suis venu voir mon nouveau né, elle m’a balancé que ce n’était pas ma Fille…. ah bien sur, Yannick, quand il est avec ses enfants, il pense plus avec son coeur qu’avec sa tête… (erreur mon cher yan !), il comprend pas le second degrés de Madame, du coup, il s’est mis en colère, et hop le tour est joué : une attestation de violence de plus à l’encontre du Père (car on est toujours violent quand on se met en colère !) Comme quoi, je suis largement plus con qu’elle, parce que je me suis fait avoir plusieurs fois… ah ah ah !).
Vous en voulez une autre ? non…. bon d’accord…. mais c’est tout après… quand ma femme a disparu avec mes Filles durant 65 jours, en fait, elle m’a averti quelques jours avant que je ne vienne chercher mes Puces pour le week-end (sympa non… c’est comment qu’on appelle ça en judiciaire… la préméditation… c’est ça ?), que ce n’était pas la peine que je me déplace, il n’y aura personne. Je me suis déplacé quand même, et effectivement, tout le monde avait disparu. Fou de rage, j’ai pris le téléphone en lui laissant un message (elle devait être sous un tunnel : ça ne répondait pas…) de me ramener mes Filles sur le champs. Bon, vous vous doutez bien, quand on est dans l’état d’un Papa a qui l’on vient d’enlever ses enfants, certains mots d’une étymologie plus ou moins douteuse et absents de la plupart de nos dictionnaires fusent. Eh bien figurez-vous qu’elle a porté plainte contre moi pour insultes, et qu’il a fallu que j’aille rendre compte au commissariat. En revanche, je ne suis jamais parvenu à déposer la moindre plainte à la gendarmerie, à la police, ou au parquet, pour rapt d’enfants… pour voie de fait ou pour atteinte à l’intégrité psychique d’autrui…. je comprends maintenant beaucoup mieux le sens du mot “ "violence” " depuis mes nombreuses convocations chez les forces de l’ordre… les gardiens de la paix ne supportent pas que les Papa se mettent en colère… il veulent la paix… chut… quand la mère a enlevé mes Filles, chut…. elle l’a fait en silence… voilà… t’as compris ?
Enfin, toute cette histoire lui a permis d’obtenir un divorce en bonne et due forme : un homme violent… pensez-vous… et je ne parle pas de cette histoire d’attouchement sur ma plus grande Fille quand elle était chez moi, ni bien sur de ce certificat médical qu’elle a mis sur la table attestant de griffures sur son visage (on m’appelle l’homme chat : je mange du ron-ron tous les midis, et j’ai des griffes rétractiles sous les ongles…). Enfin, heureusement qu’elle n’a pas raconté au JAF comment je l’avais trompée. (ce quelle a dit en revanche à tout le reste de ma famille… que d’ailleurs je n’ai plus). Imaginez autrement la leçon de morale que j’aurai prise…Non, elle a raison, pour quitter son mari, il vaut mieux que ce soit le pire des salauds (pardon pour le mot) plutôt que le prince charmant qu’elle a épousé quelques années auparavant…
Enfin, le JAF a été très sympa avec moi. Il a naturellement reconnu ma violence (forcément, avec toutes ces lettres de ses amies, de sa famille, les griffures du chat, etc… comment pourrait-il l’ignorer ?… la Justice est bien faite, tout de même !) mais il ne m’a pas mis en prison. Merci Madame le JAF pour votre magnanimité ! En revanche, elle m’a juste amputé de mes Filles en me condamnant à ne les voir que 2 fois par mois, à mes frais bien sur (ndr : 450km x 2 pour l’aller retour Alès St Gaudens le vendredi soir + 450km x 2 le Dimanche soir… ne calculez pas, je l’ai fait pour vous : c’est l’équivalent d’un SMIG pour voir mes enfants 4 jours par mois – durée du voyage incluse, et pension alimentaire de 300€ non comprise Messieurs Dames ! aller, je vous fais un petit prix à 1500€, c’est un prix beau, c’est un prix rond, c’est un prix pour vous ! C’est exactement le prix qu’il me faut payer pour voir mes Filles 4 jours par moi… sinon ? …. ben, pas de rançon, pas de Filles ! c’est aussi simple que cela). Et bien entendu, je ne parle pas des 8 heures de voiture par week-end que mes Filles endurent. Enfin, tout va bien, le Père est un fortuné chef d’entreprise artisan qui gagne … très bien sa vie ! Ca me fait penser que je dois payer mes impôts ce soir : 626 €…
Ne soyez pas choqué : il est normal que la Mère décide d’où elle va habiter, et que le Père paye 100% des voyages et passe 100% du temps dans son véhicule pour voir ses enfants. N’oubliez pas que nous sommes dans le pays de la SNCF : le pays où tout est possible !
Bref, tout cela serait tellement bien dans le meilleur des mondes si la crise n’était pas passée par là. Oh bien sur, après mes 4 passages devant le JAF pour lui expliquer, entre autre, que le jour ou mon entreprise coulerait, je ne serai plus en mesure de voir mes Filles (enfin, c’est mon avocat qui lui a expliqué tout ça, car moi, je ne suis qu’un vil pourceau, indigne de m’adresser directement à notre JAF vénérée qui porte la lumière en ces terres obscures faites de salauds de Papa -pardon pour le mot-). Devinez quoi : 2007, les subprimes, et hop, mon entreprise dans la foulée… Mais le JAF est une espèce de fonctionnaire très particulier : il est souvent de sexe féminin, et allez savoir, défenderesse acharnée des causes féminines (vous savez, Cosette qui va chercher de l’eau au puits, avec ses 4 enfants sur le dos, et Tenardier qui lui hurle dessus de sa voix rauque à l’haleine fétide et aux yeux jaunes injectés de sang “ "et ramène des fagots avec l’eau pour mon bain, feignasse !!!” "). De surcroit, il a une très très légère déficience auditive aux arguments des Papa… Car tout le monde le sais bien : l’homme, et surtout le Papa, est un salaud -pardon pour le mot- qu’il faut absolument éradiquer. D’ailleurs, il suffit de rentrer dans n’importe quelle gendarmerie, ou commissariat, pour lire sur la première affiche : l’homme bat sa femme, c’est un salaud (pardon…). Le JAF, lui , a compris cela, car il est plus intelligent que nous autres, les Papas, qui pensons toujours que nous sommes des gens bien. Eh ben non : non seulement, on est des salauds (pardon), mais en plus, on est des cons parce qu’on a rien compris !
Bref, j’ai eu beau expliquer au JAF que ce sont mes Filles autant que ce sont les Filles de leur Mère, que nous devrions avoir les même droits, qu’il me semble que la mère a commis plusieurs voies de fait à l’encontre de mes Enfants et à mon encontre (dont celui de s’enfuir avec mes enfants du domicile conjugal), mais rien n’y fait.. le JAF reste comme la porte d’Alice aux pays des merveilles : impassable… Pour le coup, c’est le pays des merveilles pour la mère (tiens, pour la petite anecdote, le saviez-vous ? si vous êtes une maman, vous avez le droit de vous enfuir avec vos enfants de votre maison, quand il vous plait. En effet, le Père, en l’absence d’une ONC ou de toute autre décision de justice, ne peut se prévaloir d’aucun droit, même celui de déposer une plainte, le jour ou vous aurez disparue. La justice ?… fantastique, comme le plastique !!! Mesdames, profitez-en : la rapine d’enfant est en solde, des occasions uniques à ne pas louper, estampillées “ "véritable justice de France !” "). (Enfin, si vous ne me croyez pas, essayez ! mais un petit conseil aux Papa : prévoyez le matelas sur le bitume avant de vous faire bouter hors de la gendarmerie… ah ah ah !!! les gardiens de la paix… ah ah ah…).
Et nous voilà donc en Mai 2010. En près de 5 mois, depuis la liquidation de ma petite entreprise, je n’ai pu voir mes Filles que 2 fois. Eh oui, je n’ai plus 1 SMIG à flamber en gaz-oil et autre frais d’autoroute. Mais 2 fois en 5 mois, c’est déjà beaucoup Madame Le Juge, pour un salaud de Papa (pardon). C’est pour cela qu’en passant à 40 km de chez moi, la mère ne m’a pas déposé mes Filles aux dernières vacances de Pâques (mes Filles que du coup, je n’ai pas pu voir)… La cloche est passée pour tout le monde, sauf pour moi! En fait, cette femme subtile n’était pas bien certaine, dixit, que je les lui ramènerai, car en effet, j’ai pour habitude de ne pas ramener mes Filles chez elles (eh oui, figurez vous que j’entretiens passionnellement ma réputation de salaud de Papa -pardon pour le mot-).
De même que le 28 Mai prochain, ma grande Fille a un spectacle. Elle s’est empressée de me le dire au téléphone l’autre jour (je profite de ce temps d’antenne qui m’est gracieusement offert pour remercier chaleureusement mon ex femme qui a la gentillesse de me permettre -depuis quelques temps- de pouvoir téléphoner à mes Filles, car sachez que la loi ne l’oblige pas !!!). Alors, dans ma petite tête de Papa, je me suis dit : tiens, je ne pourrai voir mes Enfants qu’une seule fois en Mai, et pourquoi pas que ce serait le soir du spectacle de ma Fille, faisant ainsi d’une pierre 2 coups ? Ben non : pas possible… Pas possible, parce que le week-end du 28, c’est noté très précisément dans le jugement de divorce, mes Filles ont un mot du Juge pour être chez leur Mère précisément ce week-end là ! Le Papa : niet, pas possible, c’est écrit là ! Circulez !
Alors voilà : devant la dégradation soudaine de mes rapports avec mes Filles (de 2 fois par mois, je passe à 2 fois en 5 mois… oui, dégradation, ce n’est pas un mot trop fort…), je me suis dit que je pourrai faire entendre ma voix (car moi aussi, j’ai un mot du Juge qui dit que les parents doivent veiller à ce que les enfants voient leur parents de façon équitable et régulière…) mais mon mot à moi, bizarre bizarre, je n’arrive pas à le faire entendre : je viens de me faire jeter de la gendarmerie ce matin… “ "Laissez-nous en paix” ", qu’elle m’a dit, la douce gardienne de la paix… Le Parquet, quand a lui, a été plus délicat. Mais tout aussi efficace dans le traitement du problème : j’ai raccroché en m’excusant presque de l’avoir dérangé.
Au terme de ces 5 mois particulièrement douloureux, j’ai supposé que je ne pourrai plus tenir longtemps à ce rythme. Alors, je vais engager une grève de la faim totale (pas de gâteaux sous le matelas) dès le 28 Mai 2010, afin d’obtenir plusieurs choses :
Un engagement de la part de la Mère :
- de ne plus impliquer nos enfants dans notre conflit d’adulte, ce qu’elle ne manque jamais de faire quand l’occasion se présente. Résultat, mes Filles grandissent dans un malaise palpable, et bien que je fasse tous les efforts du monde à aplanir ces difficultés à leurs yeux, elles ne peuvent pas s’empêcher de se sentir coupable de m’embrasser devant leur mère quand je viens les chercher, et abrègent les conversations téléphoniques (dernière conversation de ma Fille Lina : 3 mots : “ "Je t’aime Papa” "),
- le changement du prénom de ma dernière Fille. Je ne demande pas grand chose, simplement que Kayhna s’écrive Kaena. Ainsi, j’aurai été un peu dans ce prénom, c’est beaucoup symbolique, mais ô combien important de constater que son droit de Papa est rétabli et respecté,
- l’arrêt définitif du prosélytisme de la mère, qui croit qu’embrigader mes Filles dans l’islam sera salvateur pour Elles. Pourtant il était bien convenu entre nous deux, quand nous nous sommes mariés, que les Filles prendraient leur orientation à leur majorité, quand elles seraient prêtes pour cela. Mais les choses changent, et elles changent d’autant plus que le JAF semble être frappé, lui aussi, d’une soudaine amnésie quand au jugement qu’il a pourtant lui-même rendu : “ "les orientations religieuses doivent être convenues entre les 2 parents…” " enfin, ça, c’est ma version du jugement. Mais je ne dois pas avoir la bonne release, parce que lorsque je lui mets ça sous les yeux, c’est toujours moi le salaud de Papa (pardon) qui n’a rien compris et la gentille maman, elle, qui n’est jamais inquiétée (normal : vous avez déjà vu le méchant qui gagne à la fin, vous ?)
Je demande par ailleurs un engagement du JAF de rétablir mon droit de Papa sur deux points qui me semblent essentiels, pour mes Filles et pour moi :
- le partage équitable des frais et du temps engagés pour que nos enfants vivent avec leurs 2 parents
- une mise en place d’une garde alternée : j’ai décidé de revenir sur Toulouse, et d’abandonner sur Alès mon amie, mes amis, mes espoirs de me reconstruire professionellement avec les contacts que j’ai ici. (Naturellement, la mère n’a donné aucune réponse à ma nouvelle proposition. Elle passe sans doute, à l’heure ou vous lisez ces lignes, tout son temps et toute son énergie avec son avocat pour savoir comment elle va pouvoir éviter “ "ça” "…).
Bien sur, j’irai jusqu’au bout de ma grève de la faim, sinon, ce n’est pas drôle ! J’ai toujours dit que j’aimais suffisamment mes Filles pour leur donner ma vie s’il le fallait, et je crois qu’à présent, c’est cela qui est en jeu.
je me demande juste au bout de combien de cadavre de Papa les JAF se décideront-ils à appliquer la loi ?
Yannick, à Alès le 11 Mai 2010
Lundi 24 Mai
Première interview : http://www.midilibre.com/articles/2010/05/23/ALES-Il-va-faire-une-greve-de-la-faim-pour-ses-filles-1239447.php5
Samedi 29 Mai 2010,
Contre toute attente, j’ai reçu un message de la Mère de mes Filles il y a quelques jours, m’informant qu’elle s’était trompé sur les date du DVH (se tromper arrive à tout le monde, non ?), et qui me propose de récupérer mes Filles juste le week-end ou j’allais commencer ma grève de la faim… Les hasards du calendrier… J’ai donc naturellement accepté de prendre mes Filles ce week-end (ce que je demandais d’ailleurs depuis plus de 2 semaines). La grève de la faim commencera donc Dimanche soir, quand j’aurai ramené mes Filles à Montréjeau.
La mère n’a pas répondu à ma nouvelle proposition de résidence alternée à Toulouse. Elle qui voulait habiter à Toulouse du fait que sa Mère y résidait aussi, il semble qu’elle ne soit soudainement plus trop motivée pour cela… Je suis très surpris, car mes Filles elles, ont été ravies d’apprendre cette nouvelle. Elles veulent déjà venir 1 jour chez moi, et 1 jours chez leur Mère… ah ! les enfants… ils ne comprennent décidément rien à leur intérêt !
Lundi 31 Mai,
Voilà, je me suis installé sur lespace des Droits de l’Homme, face au TGI. J’ai cessé de m’alimenter depuis ce matin, je ne bois plus que de l’eau et des tisanes. Les gens du voisinages m’ont réservé un très bon accueil, depuis ce matin, je discute avec certains passants qui s’arrêtent, et qui me racontent leur histoire de parent déchu, ils me disent que eux non plus, ne comprennent pas la justice…
Un membre d’une association qui aide les familles séparées m’a conseillé de ne pas rentrer en relation de force avec la justice qui ne se trompe jamais, et m’a dit que mon action pouvait être interprétée comme telle. ALors, madame la Justice, ne vous méprenez pas : je ne fais pas valoir ma force, mais mon impuissance face à cette situation et à votre indifférence.
Mardi 1er Juin,
Dès la première journée d’action, le TGI de Toulouse m’a annoncé qu’il n’était plus compétent pour cette affaire. Je me suis donc rendu au tribunal compétent, et il semble qu’il me reste un recour. Dans la mesure ou je veux garder un peu d’avance sur “ "l’adversaire” ", je n’en dirai pas plus. Je met donc en pause mon action, et je vais m’atteler à essayer de régler ce problème dans le cadre de la loi. En fonction des résultats, la grève reprendra ou non.
bonjours a vous
RépondreSupprimerje me retrouve dans une situation presque identique a la différence que j'ai été comdamné au pénal a 6 mois de prison avec sursis et presque 6000 euros d'amende avec de fausses accusations.
Le système judiciaire actuelle en ce domaine est une véritable honte , d'une injustice éffrontée, pratiqué par des fonctionnaires d'une incompétence hallucinante .
J'ai aussi pensé a une grève de la faim .
Le système est basé sur le fait qu'un certain nombre de femme subissent réellement des situations inadmissibles et de ce fait les juges sengouffre
dans cette brèche .
A la place de défendre la veuve et l'orphelin nous en sommes arrivé à une situation ou une partie qui n'est plus négligeable de le population féminine est devenue véritablement parasite de la société en utilisant les faiblesses de la soit disant justice.
La situation actuelle pour un certain nombre de père est absolument inadmissible.
Il est difficile de comprendre qu'un système judiciaire qui ment pour asseoir par la force des idées fausses ne réalise pas qu'en créent une telle injustice une partie de la société se "révoltera " avec d'au temps plus de violence qu'elle a été touché.
Notre société a déjà changé sur ce point et si la justice ne fait pas preuve de justesse c'est une partie de la société qui va régler ses comptes...
Je confirme le délire actuel d'une partie du système judiciaire et dans nos métier respectif nous pouvons déjà par nos actes réagir ...
bien amicalement
Alors reveillez-vous, et rejoignez "le printemps des pères" !!
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la justice, de toute les personnes qui la représente, juge, avocat, gendarme, etc, sont les plus grand dérangé que la terre puisse porter.
RépondreSupprimerOn croit que la justice et la pour rendre ce qui est juste, pas du tout, il vous font chier plus qu'autre chose a vous tirer le pognons en vous envoyant les courriers au dates de naissance et anniversaire pour vous faire un peu plus chier.
La justice, il en reste encore un peu avec ces putain d'avocat qui ce foute de notre gueule si tu crache le pognon.
les gens au lieux de se chouter a boire, il ferait mieux d'aller leur péter la gueule a la justice, là on ferait une bonne action.....
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