Droit à la Justice
Droit d’être écouté/Droit au respect/Droit à l’information/Droit à la vérité/Droit à la Justice22 juin, 2008accueil Pas de réponses »Droit au respectDroit à l'informationDroit à la véritéDroit à la JusticeLes victimes: nécessité d'une reconnaissance officielleLa victime fait peur.La société lui attribue à priori un sentiment de vengeance, que seule l'indemnisation pécuniaire serait susceptible d'autres d'apaiser, et qui lui ôterait toute capacité à participer au jugement qui doit être rendu.Au fil du temps, la place laissée à la victime a été réduite. Celle-ci a ainsi été peu à peu exclue du processus judiciaire, et acceptée seulement en tant que partie civile.Depuis quelques années, grâce aux actions des associations de victimes, des avancées voient le jour. Mais bien changements seront cependant nécessaires pour que les victimes obtiennent la reconnaissance qui leur est due.Afin d'équilibrer le droit des victimes et celui des agresseurs, le droit de la partie civile et celui de la défense, les familles d'enfants assassinés ou disparus ont formulé des propositions :• Respecter le droit à l'information des victimes,• Mettre en place des structures pour la prise en charge des victimes,• Redéfinir la place de la victime lors du procès d'assises,• Assurer la gratuité de la Justice pour les victimes, et modifier la procédure d'indemnisation de la CIVI,• Améliorer le suivi socio-judiciaire post-carcéral pour éviter la récidive des agresseurs sexuels,• Modifier l'article 122-1 sur l'irresponsabilité pénale en cas de démence au moment des faits,• Renforcer les mesures à prendre lors des disparitions d'enfants
Droit d’être écouté/Droit au respect/Droit à l’information/Droit à la vérité/Droit à la Justice22 juin, 2008accueil Pas de réponses »Droit au respectDroit à l'informationDroit à la véritéDroit à la JusticeLes victimes: nécessité d'une reconnaissance officielleLa victime fait peur.La société lui attribue à priori un sentiment de vengeance, que seule l'indemnisation pécuniaire serait susceptible d'autres d'apaiser, et qui lui ôterait toute capacité à participer au jugement qui doit être rendu.Au fil du temps, la place laissée à la victime a été réduite. Celle-ci a ainsi été peu à peu exclue du processus judiciaire, et acceptée seulement en tant que partie civile.Depuis quelques années, grâce aux actions des associations de victimes, des avancées voient le jour. Mais bien changements seront cependant nécessaires pour que les victimes obtiennent la reconnaissance qui leur est due.Afin d'équilibrer le droit des victimes et celui des agresseurs, le droit de la partie civile et celui de la défense, les familles d'enfants assassinés ou disparus ont formulé des propositions :• Respecter le droit à l'information des victimes,• Mettre en place des structures pour la prise en charge des victimes,• Redéfinir la place de la victime lors du procès d'assises,• Assurer la gratuité de la Justice pour les victimes, et modifier la procédure d'indemnisation de la CIVI,• Améliorer le suivi socio-judiciaire post-carcéral pour éviter la récidive des agresseurs sexuels,• Modifier l'article 122-1 sur l'irresponsabilité pénale en cas de démence au moment des faits,• Renforcer les mesures à prendre lors des disparitions d'enfants
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