vendredi 9 octobre 2015

Angers : Une fillette avait été enfermée en slip dans le congélateurs

Angers : Une fillette avait été enfermée en slip dans le congélateurs

photo l'affaire de mauvais traitement à enfants jugée vendredi à angers rappelle celle du petit bastien, tué dans un lave-linge. © josué jean bart
L’affaire de mauvais traitement à enfants jugée vendredi à Angers rappelle celle du petit Bastien, tué dans un lave-linge.© Josué Jean Bart

Un homme de 55 ans et son ex de 47 ans comparaissait vendredi à Angers. Pour des sévices cruels sur trois des quatre enfants de la quadragénaire, à Saint-Florent-le-Vieil.

Une main posée sur la barre du tribunal correctionnel d’Angers. L’autre, sur la hanche. Le visage impassible, hermétique aux émotions. Raymonde (1), 47 ans, doit s’expliquer sur les violences subies par trois de ses quatre enfants. Un voyage dans l’horreur.

L’homme absent du procès pour raisons de santé

Entre 2010 et 2012, elle élevait cette fratrie à Saint-Florent-le-Vieil. Avec son concubin de l’époque, 55 ans. Lui aussi est prévenu, mais il n’est pas là. « Ses problèmes cardiaques se sont aggravés », assure son avocate, Me Gwenhaël Vieille. Dommage. On aurait aimé comprendre le mécanisme conduisant aux sévices infantiles.

Coups, douches glacées, étranglement, ligotage

Leur père, ancien mari de Raymonde, dépose deux plaintes, en mars 2010, à la gendarmerie de Montrevault. Les médecins légistes constatent des traces. Ils sont loin d’imaginer leur origine. Suite à une nouvelle plainte de novembre 2012, les frères et sœurs décrivent l’enfer de leur quotidien. Leur beau-père les frappe. Donne des douches glacées. Parfois, il en étrangle un avec le tuyau de douche. Leur mère aide son concubin en les tenant…

Fouettés et laissés sans nourriture

Comme ça ne suffit pas, le couple achète un martinet pour fouetter les petits, âgés de 3 à 9 ans. La liste des brimades prend l’allure d’un inventaire à la Prévert, la poésie en moins. Les enfants sont régulièrement bâillonnés au ruban adhésif, pieds et mains ligotés. Parfois, ils sont privés de repas. « Quand la faim les tenaille, ils vont en cachette chercher des paquets de gâteau, du pâté, des saucisses crues ou des pots de yaourts qu’ils jettent par la fenêtre », retrace Me Laurence Couvreux, avocate du Département.

Un schéma rappelant le drame du petit Bastien

Ils sont menacés d’être découpés en morceau ou d’être placés dans le lave-linge. Une des fillettes est même installée en slip, dans le congélateur. « Quand sa mère la sort, ses lèvres sont toutes violettes », décrit Me Couvreux. On n’est pas loin de l’affaire du petit Bastien, que son père a tué en le mettant dans la machine à laver. « Y a des trucs, c’est pas vrai », murmure la maman, sans ciller. Elle nie notamment l’épisode de la machine à laver. « Un vrai dossier de mauvais traitement », constate sans s’étendre le procureur Philippe Mélia. Il requiert 24 à 30 mois de prison pour le beau-père, 12 à 18 mois pour la mère, l’interdiction des droits civiques, civils et de famille.

« Pas l’intention de faire mal »

« Malgré toute l’horreur de cette affaire, elle n’avait pas l’intention de faire du mal à ses enfants, assure l’avocate de la mère, Me Éléonore Duval. Elle est mal accompagnée et ne sait pas les protéger. Les trois hommes de sa vie avaient le même travers. » « Le beau-père a essayé de remettre les enfants dans le droit chemin, mais il a franchi la ligne jaune », regrette de son côté Me Vieille.

Deux ans et un an et demi de prison

Son client est condamné à deux ans de prison dont six mois avec sursis. Raymonde, à un an et demi de prison dont six mois avec sursis. Deux peines aménageables. Ils sont privés de leurs droits civiques, civils et de famille pour quatre ans.(1) prénom d’emprunt.
Josué JEAN-BART.   Ouest-France  

mercredi 7 octobre 2015

Il risque la pendaison pour le meurtre de son fils

Il risque la pendaison pour le meurtre de son fils

Un cadre de la finance belge de 41 ans a été inculpé mercredi à Singapour du meurtre de son fils de cinq ans, un crime dont la sanction maximale est la peine de mort par pendaison.


storybild(photo: Facebook)
D’après des médias locaux, le garçonnet a été retrouvé étranglé, avec des ecchymoses autour du cou. Le père aurait été en conflit avec son ex-épouse pour la garde de l’enfant.
L’homme a été arrêté mardi avant l’aube près d’un bureau de police, présentant des blessures qu’il s’est infligé lui-même, selon le quotidien Straits Times.
«Joyeux anniversaire à toi Keryan!»
Le compte de Philippe G. sur le réseau social de relations professionnelles LinkedIn le décrit comme directeur exécutif et chef de la distribution de fonds en Asie-Pacifique pour la société Nordea Investment Management, basée à Oslo.
Un compte Facebook au nom de cet homme comporte des photos de son fils Keryan accompagnées de quelques écrits: «Joyeux anniversaire à toi Keryan! Cinq ans, je suis si fier de toi!», indique un message daté du 25 septembre.
(nxp/afp)

Toulouse : il traîne sa fille de 4 ans sur plusieurs mètres puis la frappe

Toulouse : il traîne sa fille de 4 ans sur plusieurs mètres puis la frappe

La scène s’est produite vendredi soir à la station de métro Claude-Nougaro dans le quartier des Minimes à Toulouse (31).
Aux environs de 21H30, un homme a traîné sa fille, âgée de 4 ans, sur plusieurs mètres puis a commencé à la battre.
La mère de l’enfant et des usagers sont intervenus, en attendant l’arrivée de la police. Le suspect a été interpellé et placé en garde à vue

dimanche 4 octobre 2015

Elle vole 100 000 euros à une association d’aide à l’enfance, elle est dénoncée par son mari cocu

Elle vole 100 000 euros à une association d’aide à l’enfance, elle est dénoncée par son mari cocu

Un homme soupçonnait sa femme, âgée de 43 ans, de le tromper avec le directeur de l’association pour laquelle elle travaillait à Lyon. Il l’a donc géolocalisée et s’est rendu compte qu’elle était dans le Vaucluse, alors qu’elle devait se trouver à Paris pour un déplacement professionnel.
Pour se venger, le mari cocu s’est rendu dans un commissariat de Lyon et a dénoncé les magouilles de sa femme. Entre janvier 2007 et juillet 2015, cette comptable pour une association d’aide à l’enfance, a détourné de l’argent avec des chèques en blanc.
Selon le Progrès, le préjudice s’élèverait à 1000 euros par mois, soit 100 000 euros originellement destinés à des enfants en difficulté.
La femme et son amant ont été interpellés mardi 22 septembre. Elle a avoué les faits tandis que le directeur de l’association a été mis hors de cause.

vendredi 2 octobre 2015

Meuse : mort d’un bébé secoué

Meuse : mort d’un bébé secoué

Son père de 26 ans et sa mère âgée de 28 ans ont été placés en garde à vue après la mort du nourrisson. Ils sont originaires de Revigny-sur-Ornain dans la Meuse.
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La petite fille était née début août. Photo d’illustration Alexandre MARCHI

C’était un nourrisson d’à peine deux mois. La petite fille est décédée lundi, moins de deux jours après avoir été admise dans le service de réanimation pédiatrique de l’hôpital pour enfants de Brabois à Nancy. Elle vient ajouter son prénom à la trop longue liste des bébés secoués.

Tout a commencé vendredi quand, en fin de journée, son père appelle les pompiers. Il leur signale que la petite à des difficultés pour respirer. Ce que constatera l’équipe médicale du Samu qui intervient au domicile familial à Revigny-sur-Ornain (Meuse) et décidera d’hospitaliser de toute urgence la petite. Après quelques heures en observation au centre hospitalier de Bar-le-Duc, le bébé était héliporté à Brabois.

Et dès le lendemain, le samedi midi, le parquet de Bar-le-Duc était avisé de la situation par les services sociaux du Département. Ceux-ci venaient d’avoir un signalement de forte suspicion de bébé secoué concernant le nourrisson. Dimanche, elle était en état de mort cérébrale et lundi elle décédait. Un examen médical était pratiqué dimanche et l’autopsie réalisée mardi matin confirmait les suspicions de maltraitance.

Une situation suffisamment préoccupante pour que son frère, deux ans, et qui n’a pas le même père que la petite fille, soit placé dans un foyer. Le garçonnet a fait l’objet d’un examen radiologique qui n’a rien révélé. Il présente toutefois des bleus qui, cependant, ne peuvent être attribués à une tierce personne.

Suivi social en cours

« Les deux parents ont été placés en garde à vue mercredi matin et une enquête pour violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans par ascendant a été ouverte », relatait ce jeudi Sophie Partouche, substitut du procureur de Bar-le-Duc.

Depuis la mort du bébé, l’enquête porte sur des faits criminels, des violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Des faits qui pourraient conduire les parents devant une Cour d’assises.

« On n’arrive pas à savoir ce qui s’est passé, est-ce que c’est un acte isolé ou y a-t-il des maltraitances répétées ? Il semblerait que le père était seul au domicile le vendredi après-midi. Mais ni lui ni la mère ne semblent comprendre ce qu’on leur reproche. » La substitut du procureur s’interroge également sur deux fractures (hanche et côte), encore non datées, et relevées sur le corps de la fillette, sans aucune trace de coups.

Une dizaine de jours après sa naissance, elle avait été hospitalisée à Bar-le-Duc pour une infection. Le comportement des parents aurait alors alerté l’équipe médicale qui aurait informé les services sociaux. Un suivi par une assistante sociale de la PMI était d’ailleurs en train de se mettre en place.

Ce vendredi matin, la prolongation de garde à vue arrive à son terme et les parents seront présentés à un juge d’instruction à Nancy. Le père de la fillette, condamné pour des faits de violences quand il était mineur, devrait être mis en examen et placé en détention provisoire. Il est moins sûr qu’il en soit de même pour la mère.

Karine DIVERSAY

mercredi 9 septembre 2015

Rhône : soupçonnés d'avoir commis des violences sur leur bébé de trois semaines

Rhône : soupçonnés d'avoir commis des violences sur leur bébé de trois semaines

Des jeunes parents, âgés de 20 et 21 ans, ont été interpellés lundi après-midi à l’hôpital de Bron.
Domiciliés à Givors, ils sont soupçonnés d’avoir commis des violences la
veille sur leur fillette âgée de trois semaines. Cette dernière a
obtenu 15 jours d’ITT. Les parents seront présentés au parquet ce
mercredi.
Rédigé dans Faits Divers le 09/09/2015 à 10h18

lundi 31 août 2015

Amnesty International UK Two sisters to be raped as punishment – demand justice

Amnesty International UK

Two sisters to be raped as punishment – demand justice

191,694 taken. Help us reach 200,000
Your eyes do not deceive you. An unelected all-male village council in India has ordered that 23-year-old Meenakshi Kumari and her 15-year-old sister are raped.
The ‘sentence’ was handed down as punishment after their brother eloped with a married woman. They also ordered for the sisters to be paraded naked with blackened faces. Nothing could justify this abhorrent punishment. It’s not fair. It’s not right. And it’s against the law. Demand that the local authorities intervene immediately.

L'Horreure SAVOIE / AIX-LES-BAINS:Le père frappe sa fille à coups de poêle et l’asperge d’huile bouillante

SAVOIE / AIX-LES-BAINS:Le père frappe sa fille à coups de poêle et l’asperge d’huile bouillante


La nuit de samedi à dimanche a été dramatique pour une mère et ses deux filles. En instance de divorce, cette Aixoise était partie en vacances au Maroc avec ses enfants.
De retour dans la station thermale, elle a la mauvaise surprise de trouver son mari dans l’appartement alors qu’il avait obligation de le quitter. Une dispute commence entre les parents et le père fait mine de taper sur la mère. C’est alors que la fille aînée, tout juste majeure, s’interpose pour protéger sa maman. Fou de rage, le père attrape une poêle où se trouvait de l’huile bouillante et la jette sur sa fille, brûlant celle-ci au visage, avant de la frapper avec l’ustensile de cuisine. Avertie, la police est intervenue et a interpellé le mari, qui se trouvait toujours en garde vue au commissariat d’Aix-les-Bains lundi matin.
Entendu par la justice, l’homme a finalement été remis en liberté et sera convoqué au tribunal ultérieurement.

samedi 29 août 2015

Cahors. Son fils placé parce qu'elle l'aime trop


Cahors. Son fils placé parce qu'elle l'aime trop ?

Justice

Odile T. est favorable à une assistance éducative mais conteste le placement./DDM, B.-H. S.-P.
Odile T. est favorable à une assistance éducative mais conteste le placement./DDM, B.-H. S.-P.
Le fils d'Odile T. , âgé de 3 ans, fait l'objet d'un placement judiciaire en foyer d'accueil durant six mois. La justice reproche une relation fusionnelle faisant obstacle au développement de l'enfant. Ce que conteste Odile : elle a fait appel du jugement.
C'est le plus souvent pour des cas de violences et de maltraitance que les enfants sont enlevés de leur famille et placés en foyer. Dans le Gourdonnais, le cas d'Odile T. et de son fils L., 3 ans, est différent. Dans un jugement en assistance éducative aux fins de placement du 23 novembre dernier, la juge des enfants de Cahors constate qu'Odile « est très attachée à son fils avec qui elle entretient une relation fusionnelle ne lui permettant pas de se développer en tant que sujet car il est maintenu à l'état de nourrisson »
[…] « Il est constaté des carences éducatives importantes préjudiciables au développement physique de L. qui, d'après le bilan du CMPP, doit bénéficier de soins orthophoniques, psychologiques et au niveau de la motricité ». La justice reproche à Odile de ne pas poser d'interdit ou de cadre à son fils ». La maman reconnaît la relation fusionnelle : « Enceinte de 6 mois, j'ai appris que j'étais atteinte d'un cancer. L'accouchement a été anticipé afin que je puisse recevoir des soins. Je suis aujourd'hui guérie. J'ai eu des soucis financiers et j'ai vécu un an en caravane. Quand les services sociaux m'ont demandé de vivre en appartement et de scolariser mon fils à 3 ans, je l'ai fait. Il a fait de gros progrès mais cela n'a pas été pris en compte. Mon fils aîné qui a 20 ans et que j'ai élevé sans problème n'a même pas été interrogé, ni l'institutrice qui m'a fait une attestation sur les progrès de mon enfant. Ce n'est pas un crime d'aimer son enfant ! », explique Odile en pleurs : « Il dormait quand il a été emmené chez la nouvelle nounou et s'est réveillé sans la connaître ; il a aussi été changé d'école. On ne m'a accordé au départ un droit de visite et d'hébergement que de deux week-ends par mois. La première fois, j'ai dû l'amener aux urgences car il s'était retenu de faire ses besoins ; il m'a accusé de l'abandonner et était dans tous ses états au moment de le laisser. Je suis tout à fait d'accord pour une assistance éducative en milieu ouvert, mais pas pour le placement », martèle Odile qui a fait appel du jugement et se rend aux rendez-vous fixé au centre médico-social pour une assistance éducative.

Des progrès constatés à l'école

« La justice reproche à la maman de trop aimer son enfant », résume Philippe Mercadier, avocat d'Odile. L'institutrice confirme les progrès : « Depuis sa scolarisation en septembre, il est propre et ne pleurait pas quand on l'amenait. On l'enlève de sa famille et de son école, il n'a plus du tout de repères. Personne ne m'a interrogée ».
Sollicitée, la juge des enfants n'a pas souhaité évoquer le dossier. Les services sociaux du département soulignent d'abord l'intérêt de l'enfant (lire encadré). Une bonne nouvelle est arrivée récemment : Odile peut désormais prendre son fils du vendredi au lundi durant les fêtes de fin d'année.

"l'intérêt de l'enfant"

À la direction de la solidarité départementale, Nathalie Bruno, chef de service, indique ne pas pouvoir évoquer le dossier sur le fond, mais précise :
« Le placement n'est pas une fin en soi. C'est une décision judiciaire. Les services sociaux ne sont pas à l'initiative du signalement ; la personne concernée faisait déjà l'objet d'un suivi des services de la protection judiciaire de la jeunesse. La priorité est l'intérêt de l'enfant. Nous mettons en place le droit de visite, sous le contrôle de la juge des enfants. Les situations ne sont pas figées : les décisions sont prises au fur et à mesure des évolutions constatées, que ce soit au niveau matériel, psychique ou psychologique. Avec pour objectif le retour de l'enfant au domicile familial. Il faut que toutes les conditions soient réunies ».

Un instituteur à la retraite mis en examen pour des attouchements sur d’anciennes élèves

Un instituteur à la retraite mis en examen pour des attouchements sur d’anciennes élèves

ILLUSTRATION. Un enseignant de CP aujourd'hui à la retraite a avoué avoir attouché sept de ses anciennes élèves. ILLUSTRATION. Un enseignant de CP aujourd’hui à la retraite a avoué avoir attouché sept de ses anciennes élèves.
LP / Frédéric Dugit

Il aura fallu plusieurs années pour que l’affaire remonte jusqu’à la justice. Un professeur aujourd’hui à la retraite fait face aux accusations de pédophilie de certaines de ces anciennes élèves.
Tout commence en 2014 quand une mère de famille dépose plainte pour le compte de sa fille de 15 ans.

La jeune fille déclare avoir subi des attouchements sexuels de la part de son enseignant de CP, à l’école primaire de La Tour-du-Crieu (Ariège), alors qu’elle était âgée de 6 ans.
Témoignages similaires 
Lors des investigations, la police de Pamiers a recueilli le témoignage de deux autres jeunes filles du même âge. A chaque fois, le récit est le même comme le rapporte, le procureur de la République, Karline Bouisset : «Leur instituteur de CP leur demandait de venir sur ses genoux pour faire des corrections et il procédait à cette occasion à des attouchements de nature sexuelle, sur ou sous les vêtements.»
Une version des faits que l’enseignant a lui-même reconnu. A la retraite depuis 2010 et inconnu des services de police, l’homme a été placé en garde à vue les 17 et 18 août dernier. Selon la procureur, il a immédiatement avoué les faits et a indiqué aux enquêteurs les noms de sept autres victimes entre 2003 et 2007.
Une information judiciaire a été ouverte le 19 août 2015. Le prévenu, en liberté, est placé sous contrôle judiciaire strict, tandis que les gendarmes poursuivent leurs investigations à la recherche d’autres éventuelles victimes.

vendredi 28 août 2015

Lagora Lagora 29 août, 03:28 LES ENFANTS DU QUÉBEC SE SUICIDENT DANS LES CENTRES JEUNESSE DANS LES HÔPITAUX PSYCHIATRIQUES DANS L'INDIFFÉRENCE TOTALE QUE FONT LES MÉDIAS? OÙ EST LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX ? OÙ EST LE MINISTRE DE LA JUSTICE? OÙ EST LE 1ER MINISTRE DU QUÉBEC? OÙ SONT LES ÉLUS DU PEUPLE ? Manque de formation La coroner a observé aussi un manque de formation des médecins face aux personnes suicidaires. «La revue du dossier médical du Centre hospitalier de Rimouski m'a laissée un peu perplexe», écrit Renée Roussel, concernant la première tentative de suicide du jeune homme. «Ce geste a été qualifié comme étant un geste «parasuicidaire» à mon plus grand étonnement. Sur ce même sommaire d'hospitalisation, il n'y a aucune mention concernant l'orientation l'adolescent vers des ressources psychosociales de leur centre de santé et de services sociaux, comme si de facto, c'était les intervenants du Centre de protection de l'enfance et de la jeunesse qui devaient tout assumer.» «Le manque de formation de médecins face aux suicidaires m'apparaît donc très flagrant. À titre d'exemple, il semble que ce ne soit pas chose rare qu'une personne suicidaire soit amenée à l'urgence volontairement ou avec la Loi sur la protection des personnes dont l'état mental présente des dangers pour elles-mêmes ou pour autrui, et que la personne ressorte sans autre service le jour même. Les intervenants psychosociaux de mon milieu de pratique m'en ont rapporté plus d'un cas ainsi que leur désarroi dans de telles situations. J'ai aussi constaté que bien des médecins connaissent mal les ressources psychosociales de leur milieu incluant celles disponibles et dédiées aux situations de crises.» Rapport du coroner - La DPJ blâmée pour le suicide d'un adolescent tvanouvelles.ca Rapport du coroner: la DPJ blâmée pour le suicide d'un adolescent J’aime Commenter Partager

 
   
Lagora Lagora
29 août, 03:28
 
LES ENFANTS DU QUÉBEC SE SUICIDENT DANS LES CENTRES JEUNESSE DANS LES HÔPITAUX PSYCHIATRIQUES DANS L'INDIFFÉRENCE TOTALE QUE FONT LES MÉDIAS? OÙ EST LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX ? OÙ EST LE MINISTRE DE LA JUSTICE? OÙ EST LE 1ER MINISTRE DU QUÉBEC? OÙ SONT LES ÉLUS DU PEUPLE ? Manque de formation La coroner a observé aussi un manque de formation des médecins face aux personnes suicidaires. «La revue du dossier médical du Centre hospitalier de Rimouski m'a laissée un peu perplexe», écrit Renée Roussel, concernant la première tentative de suicide du jeune homme.
«Ce geste a été qualifié comme étant un geste «parasuicidaire» à mon plus grand étonnement. Sur ce même sommaire d'hospitalisation, il n'y a aucune mention concernant l'orientation l'adolescent vers des ressources psychosociales de leur centre de santé et de services sociaux, comme si de facto, c'était les intervenants du Centre de protection de l'enfance et de la jeunesse qui devaient tout assumer.»
«Le manque de formation de médecins face aux suicidaires m'apparaît donc très flagrant. À titre d'exemple, il semble que ce ne soit pas chose rare qu'une personne suicidaire soit amenée à l'urgence volontairement ou avec la Loi sur la protection des personnes dont l'état mental présente des dangers pour elles-mêmes ou pour autrui, et que la personne ressorte sans autre service le jour même. Les intervenants psychosociaux de mon milieu de pratique m'en ont rapporté plus d'un cas ainsi que leur désarroi dans de telles situations. J'ai aussi constaté que bien des médecins connaissent mal les ressources psychosociales de leur milieu incluant celles disponibles et dédiées aux situations de crises.»
Rapport du coroner - La DPJ blâmée pour le suicide d'un adolescent
tvanouvelles.ca
Rapport du coroner: la DPJ blâmée pour le suicide d'un adolescent

vendredi 21 août 2015

Décès du chanteur Laurent Rossi, fils de Tino

Décès du chanteur Laurent Rossi, fils de Tino


Laurent Rossi, le fils du chanteur Tino Rossi, qui lui aussi poussait la chansonnette, est décédé jeudi, à Paris, à l’âge de 67 ans. Il aurait succombé à une crise cardiaque.

©PHOTOPQR/NICE MATIN/luccioni ; CORSE Ajaccio le 24-09-2013/ anniversaire des 30 ans de la disparition du chanteur ajaccien tino rossi / ici dans sa maison du "scudo" son "havre de paix" disait-il  laurent rossi son fils et le petit-fils de tino constentin lui rendent hommage ainsi que tous les ajacciens .
©PHOTOPQR/NICE MATIN/luccioni ; CORSE Ajaccio le 24-09-2013/ anniversaire des 30 ans de la disparition du chanteur ajaccien tino rossi / ici dans sa maison du « scudo » son « havre de paix » disait-il laurent rossi son fils et le petit-fils de tino constentin lui rendent hommage ainsi que tous les ajacciens .
 
Le chanteur Laurent Rossi, fils de Tino Rossi est décédé jeudi à Paris, à l’âge de 67 ans, a-t-on appris vendredi à Ajaccio dans son entourage familial. Laurent Rossi serait mort d’une crise cardiaque à son domicile où il se trouvait seul, a-t-on ajouté de même source confirmant une information de la radio RCFM Frequenza Mora

jeudi 20 août 2015

le mentor Patrick Devedjian mise en touche

 

Jean-Marie Le Pen, "indigné", veut contester en justice son exclusion du FN


Jean-Marie Le Pen, exclu jeudi du Front national qu'il a cofondé, s'est dit "indigné" et "victime d'un guet-apens", affirmant aussitôt qu'il "attaquerai(t) bien sûr (cette décision) devant les autorités judiciaires compétentes".
"Je suis indigné car j'ai l'impression d'avoir été victime cet après-midi devant le bureau politique croupion d'un véritable guet-apens", a réagi M. Le Pen sur I-Télé.
"Quand cette décision me sera notifiée, je l'attaquerai bien sûr devant les autorités judiciaires compétentes", a dit M. Le Pen, qui s'était défendu durant trois heures devant le bureau exécutif du FN, qui, à la majorité, a finalement décidé son exclusion.
"Marine Le Pen méprisera la justice comme elle l'a fait les trois fois précédentes", a-t-il aussi déclaré. "J'ai été piégé parce que les sbires (...) en face de moi attendaient l'ordre de Marine Le Pen qui était un ordre d'exclusion", a-t-il détaillé.
M. Le Pen a achevé cette intervention télévisée en parlant de "peloton d'exécution" et expliqué que "c'était assez éprouvant quand on avait le sentiment de n'avoir commis aucune faute".
"Il y a de l'indignation et de la tristesse", a confié celui qui est "parlementaire depuis 60 ans".
Interrogé sur le fait de savoir s'il pourrait être amené à se présenter aux régionales dans la région PACA, où sa petite fille Marion Maréchal-Le Pen a été investie, il a répondu: "non, je n'ai pas cette intention".
Il a revanche expliqué qu'il serait présent à l'université de rentrée du FN à Marseille "à sa place de président d'honneur", les 5 et 6 septembre prochains.

Une mère de famille mêlée à des orgies avec des ados

Une mère de famille mêlée à des orgies avec des ados


  • Une mère de famille mêlée à des orgies avec des ados

Déjà pincée au mois de juin, une trentenaire a de nouveau été incarcérée pour avoir couché avec plusieurs mineurs, qu’elle fournissait en alcool et en drogue.


storybildRachel Marie Carrier risque de payer cher son attirance pour les jeunes garçons. (photo: Bureau du shérif de Washington Parish)



Rachel Marie Carrier, âgée de 34 ans et mère de cinq enfants, a été arrêtée en juin dernier pour avoir couché avec un mineur. Après une plainte du père de la victime, la jeune femme avait été accusée de détournement de mineur et d’avoir poussé un jeune à la délinquance, selon un communiqué de la police de Washington Parish (Louisiane).
Incarcérée le 28 juin, Rachel avait été libérée contre une caution de 30’000 dollars et avait reçu l’ordre de se tenir éloignée de sa jeune victime masculine, dont l’âge n’a pas été communiqué. La trentenaire n’a visiblement pas retenu la leçon. Elle a en effet organisé des soirées remplies d’alcool, de sexe et de drogue avec une bande d’adolescents. Sa première victime figurait parmi ses convives.
«Une excellente candidate pour le pénitencier»
Rachel a été arrêtée une nouvelle fois le 12 août, selon un communiqué des autorités. Cette fois-ci, elle devra faire face à cinq chefs d’accusation de détournement de mineurs. Mercredi, la mère de famille ne s’était pas encore acquittée de sa caution fixée à 75’000 dollars et reste donc en prison. Ses cinq enfants ont été placés dans un foyer, selon le «New York Daily News».
Randy Seal, le shérif de Washington Parish, a estimé que Mme Carrier faisait «une excellente candidate pour le pénitencier». «Je suis choqué et écoeuré par les actes de cette femme, qui est un véritable danger pour les jeunes», a-t-il estimé.

incredible but true was a judge for child Mrs. Armelle Guiraud who wanted referred an infant's eight days no you are not dreaming now we learn as a dental surgeon Cauvin multi CAP which is both dentist in these hours

incredible but true was a judge for child Mrs. Armelle Guiraud who wanted referred an infant's eight days no you are not dreaming now we learn as a dental surgeon Cauvin multi CAP which is both dentist in these hours
And the rest of the time Cap change becomes dermato; general practitioner and gyneco
 
No you are not dreaming
We understand why their internal insurance refuses to pay and class their file.
 

mercredi 19 août 2015

Il appelle la police parce que son dealer lui a vendu du carambar au lieu du shit

Il appelle la police parce que son dealer lui a vendu du carambar au lieu du shit

Un consommateur de drogue s’est rendu compte que ses dealers lui avaient vendu du carambar au lui du shit. Le produit étant emballé, rien ne laissait paraître qu’il s’agissait d’un bonbon.
Il s’est également rendu compte que les deux vendeurs lui avaient volé 20 euros.
Furieux, il a appelé la police. Les forces de l’ordre, arrivés sur les lieux, ont retrouvé les deux dealers.
Entendus par les policiers, ces derniers ont indiqué avoir été frappés par ladite victime.
Bref l’histoire du Carambar a fait perdre du temps à la police et à la Justice qui a fini par classer l’affaire sans suite a indiqué le journal La Provence.

Dans le milieu, cela s’appelle la technique du « carottage ». Le produit emballé, rien ne laissait paraître qu’il s’agissait d’un Carambar. Pourtant une fois que l’acheteur a découvert la supercherie il a tenté de retrouver les deux vendeurs qui a priori lui avaient aussi volé 20 euros à l’arraché. La victime prévient alors la police et ensemble ils partent à la recherche des deux vendeurs de Carambar. Entendus par les policiers, ils reconnaissent avoir été frappés par ladite victime. Bref l’histoire du Carambar a fait perdre du temps aux agents et à la Justice qui a fini par classer l’affaire sans suite.

samedi 15 août 2015

quel courrage de la la part des parents Nancy : accusé à tort de maltraitance sur sa fille, un couple la récupère de force

quel courrage de la la part des parents Nancy : accusé à tort de maltraitance sur sa fille, un couple la récupère de force


Nancy : accusé à tort de maltraitance sur sa fille, un couple la récupère de force
Edité par le14 août 2015 à 11h25 , mis à jour le14 août 2015 à 14h11. 
 

Yoan et Sabrina tente de récupérer la garde de leur fille Louna depuis plus de trois ans

Yoan et Sabrina tente de récupérer la garde de leur fille Louna depuis plus de trois ans / Crédits : LCI

Faits divers Depuis trois ans, Yoan et Sabrina tentent d'obtenir à nouveau la garde de leur fille Louna après avoir été accusés à tort de maltraitance. Jeudi dernier, las d'attendre, ils l'ont récupérée de force lors d'une visite.
 

Depuis trois ans et demi, Sabrina et Yoan sont séparés de leur petite fille. Le couple était accusé à tort de maltraitance sur leur enfant. Une situation ubuesque à cause d'une maladie génétique rare portée par la mère de l'enfant. Sabrina est en effet atteinte d'angio-oedème héréditaire, une pathologique qui provoque des gonflements et des rougeurs, qui peuvent être confondus à des hématomes. Maladie qu'elle a transmise à sa fille. Mais depuis qu'ils ont été innocentés il y a environ deux mois, les deux parents attendent toujours de récupérer la garde de Louna, aujourd'hui âgée de trois ans.
"Cela fait maintenant deux mois que nous avons été relaxés mais rien n'avait bougé, s'insurge Yoan dans les colonnes de Vosges Matin. L'acharnement continue. On avait demandé un aménagement des droits de visite à notre domicile, le tribunal ainsi que les services sociaux ont refusé."
Jeudi, le couple a donc décidé de se faire justice soi-même. "Aujourd'hui (jeudi) à 15 h, nous avons récupéré Louna", se réjouit Yoan. Las d'attendre d'obtenir la garde définitive de leur petite fille, Sabrina et son compagnon ont récupéré Louna de force lors d'un droit de visite médiatisé.
"On dit stop à l'acharnement"
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"Avec cette histoire, la santé de ma compagne se dégrade de jour en jour. Je voulais que notre fille soit de retour le plus vite possible, assène Yoan Bombarde à Vosges Matin. Ça fait trois ans et demi qu'on nous trimbale, qu'on patiente, qu'on dit oui à tout ce que l'on nous demande. Maintenant, on dit stop à l'acharnement."
L'histoire remonte à février 2012. La petite Louma tombe légèrement malade. "Elle était fébrile et ne répondait aux stimuli", selon Yoan. Inquiets, lui et Sabrina, qui vivent près de Nancy, décident alors d'emmener leur fille à l'hôpital. Or ce jour, Louma présente "un méga hématome recouvrant la moitié du visage", explique son père. Le personnel de l'hôpital soupçonne immédiatement les parents de violence envers la fillette.
Les services sociaux et la police sont informés. Sabrina et Yoan sont placés en garde à vue et la garde de Louna leur est retirée. "Les policiers nous ont bien cuisinés. Nous avons eu droit au gentil flic et au méchant, mais aussi à des pressions pour que l'on s'accuse mutuellement", se rappellent-ils. Ils ont beau expliquer que les marques sur le visage de l'enfant sont liés à une maladie génétique, rien n'y fait. Ils sont finalement mis en examen.
"Une chose est sûre, on ne nous la reprendra pas"
Une expertise médicale va alors enfoncer les espoirs du couple de retrouver leur fille. Deux médecins de Strasbourg assurent que Louna n'est pas atteinte d'angio-oèdème héréditaire. Toutefois, Sabrina et Yoan ne perdent pas confiance. Ils parviennent, malgré le refus des services sociaux, à faire faire une prise de sang à leur fille, lors d'une visite. Ils contactent alors le CREAK, le centre national de référence des angio-œdème. L'une des médecins, le docteur Pagnier, va alors se pencher sur le cas de Louna. Et son diagnostic est formel, la fillette est bien atteinte de la même maladie génétique que sa mère et la marque qu'elle présentait sur son visage lors de son hospitalisation était dûe à une infection, et rien d'autre.
Lors du procès, la justice n'avait eu d'autre choix que d'admettre la méprise. Les parents avaient été évidemment relaxés. Mais le mal est fait. "Cela n'aurait jamais dû durer aussi longtemps. Le principe de précaution par rapport aux violences sur mineur a montré sa limite dans cette affaire. Cela a débouché sur un massacre familial", assure l'avocate du couple. Sabrina et Yoan, qui vont pouvoir enfin récupérer leur fille, réfléchissent à présent à poursuivre les services sociaux et l'hôpital.
Aujourd'hui, ils espèrent voir ce dossier définitivement clos le plus vite possible. "Qu'on nous rende concrètement et une bonne fois pour toutes notre fille. Une chose est sûre, on ne nous la reprendra pas", conclut Yoan Bombarde.

vendredi 14 août 2015

« C’est le procès de la misère »

« C’est le procès de la misère »

Une Chinoise, récidiviste, comparaît pour avoir volé dans un magasin. Un « service » rendu à un tiers qui devait lui rapporter 20 euros…Par
Publié le 14/08/2015 à 06:45 | Le Point.fr
Dans les couloirs du palais de justice de Paris (photo d'illustration).
Dans les couloirs du palais de justice de Paris (photo d’illustration).AFP©JOEL ROBINE

Elle laisse son bébé de trois mois seul pendant qu’elle se saoule et batifole avec son amant: le nourrisson est décédé

Elle laisse son bébé de trois mois seul pendant qu’elle se saoule et batifole avec son amant: le nourrisson est décédé

Elle laisse son bébé de trois mois seul pendant qu’elle se saoule et batifole avec son amant: le nourrisson est décédé
Rédaction en ligne
Yvonne Adkins, une jeune femme de 32 ans, a hérité de 18 mois de prison avec sursis pour avoir causé la mort de sa fille de 3 mois, Chantelle. Sans surveillance et malade, l’enfant est décédé pendant que sa mère batifolait avec un amant rencontré deux semaines auparavant à un arrêt de bus.

Yvonne Adkins a laissé son bébé de trois mois sans surveillance pendant 9 heures
Capture Facebook
Yvonne Adkins a laissé son bébé de trois mois sans surveillance pendant 9 heures
C’est en se réveillant après sa folle nuit d’amour et d’alcool avec son amant, rencontré deux semaines auparavant à un arrêt de bus, qu’Yvonne Adkins, une jeune femme de 32 ans, a découvert que sa fille Chantelle était morte. La maman avait laissé son enfant dans son couffin tandis qu’elle était montée à l’étage avec son amant. Après avoir ingurgité plusieurs verres de whisky et eu des relations sexuelles avec l’homme en question, elle s’est effondrée de sommeil et a purement et simplement négligé son bébé.
Chantelle souffrait de vomissements intempestifs et a été laissée seule pendant plus de 9 heures. Lorsqu’Yvonne Adkins s’est rendue compte de l’état de sa fille, elle a immédiatement appelé les secours, en vain. Chantelle était morte. Plus d’un an après les faits, la cour a jugé cette mère totalement irresponsable. Le juge lui a reproché d’avoir préféré une nuit d’amour et d’alcool avec un homme rencontré deux semaines auparavant plutôt que de veiller sur sa fille malade.
Une analyse post-mortem du corps du bébé a révélé que l’enfant a été victime de la mort subite du nourrisson. Les juges ont qualifié la mère d’irresponsable, mais pour l’heure, cette dernière évite la prison. Yvonne Adkins a plaidé coupable pour cruauté envers des enfants et a été condamnée à 18 mois de prison avec sursis.
Une enquête pour mauvais traitements et pour non-assistance à personne en danger devrait démontrer l’implication réelle d’Yvonne Adkins dans la mort de Chantelle. Les résultats devraient être connus dans les jours qui viennent

jeudi 13 août 2015

Dad lets daughter die, rather than be touched by 'strange' rescuer

Dad lets daughter die, rather than be touched by 'strange' rescuer

Asian father stopped rescue team from saving his drowning daughter

A father of a 20-year-old girl let his daughter drown, stopping life guards from rescuing her.
He preferred that his daughter die rather than she be touched by a strange man, according to a top official.
Speaking to Emirates 24|7, Lt. Col Ahmed Burqibah, Deputy Director of Dubai Police’s Search and Rescue Department, recounting some of the worst incidents he had encountered in his tenure, said that this incident took place at a beach in Dubai.
“This is one of the incidents which I cannot forget.

Lt. Col Ahmed Burqibah, Deputy Director of Dubai Police’s Search and Rescue Department said that this incident took place at a beach in Dubai. (Supplied)
“It shocked me and many others who were involved in the case.
“The Asian father took his wife and kids to the beach for picnic and fun.
“The kids were swimming in the beach when suddenly, the 20-year-old girl started drowning and screaming for help.
“Two rescue men were at the beach, and they rushed to help the girl.
“However, there was one obstacle which prevented them from reaching the girl and helping her.
“This obstacle was the belief of this Asian man who considered that if these men touched his daughter, then this would dishonour her. It cost him the life of his daughter.”
Lt. Col. Burqibah added that the father of the girl did not want the rescue men to touch his daughter as they were strange men.
“The father was a tall and strong man. He started pulling and preventing the rescue men and got violent with them. He told them that he prefers his daughter being dead than being touched by a strange man.”
He pointed out that this delay and fight with the girl’s father cost the girl her life. She drowned.
“She died unfortunately, at a time when she had a chance to live, especially that the rescue men were so close to her to pull her out of the water.”
Lt. Col. Burqibah added that the girl’s father was later arrested by Dubai Police for stopping the rescue team from saving his daughter’s life and doing their job.
“He was prosecuted and sued by the concerned authorities.”
 The incident happened many years ago.

Meurthe-et-Moselle Viol sur mineur : un élu écroué

Meurthe-et-Moselle Viol sur mineur : un élu écroué

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Nancy. L’intervention des gendarmes de la Compagnie de Nancy n’est pas passée inaperçue, la semaine dernière, à Dommartin-sous-Amance, petit village de 300 habitants situé dans le canton du Grand-Couronné, à une quinzaine de kilomètres de Nancy. Le lundi 7 août au matin, les enquêteurs nancéiens se présentaient au domicile de Vincent Wagner, 3e adjoint à la mairie de Dommartin-sous-Amance.
 
Âgé de 60 ans, l’élu était interpellé puis placé en garde à vue. Sa maison était perquisitionnée et les enquêteurs saisissaient notamment un important matériel informatique. Le sexagénaire, installé depuis au moins vingt ans dans la commune, est suspecté de viol sur une enfant âgée de 11 ans à qui il a également fait visionner des films pornographiques.
 
La petite victime s’était confiée à un proche durant les vacances avant que ne s’ensuive un dépôt de plainte sur le lieu de villégiature familial. Plainte qui a ensuite été transmise aux gendarmes nancéiens.
 
Au cours des 48 heures de garde à vue, l’auteur présumé aurait reconnu les faits qui lui sont reprochés. Présenté à un juge d’instruction nancéien, il a été mis en examen puis placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville. « À Dommartin, c’est la sidération et la consternation à propos de cette affaire », observe Dominique Mathey, le maire de la commune.
 
Le premier magistrat « s’étonne » de ne pas avoir été informé « a posteriori » par les autorités. Pas sur le fond du dossier mais au moins sur le placement en détention de son adjoint. Dans la commune, l’élu « gérait l’emploi du temps de l’employé communal et suivait quelques petits dossiers », précise le maire qui a appris l’incarcération de l’intéressé par un tiers.
 
Les ordinateurs saisis soumis à des expertises
 
Veuf, au chômage, Vincent Wagner s’investissait pleinement dans la gestion de sa commune. Il y est décrit comme « quelqu’un d’intelligent, très actif, très présent et il n’y avait rien à lui reprocher au niveau communal ». Le sexagénaire était également président du club de plongée de Saint-Max, dans la banlieue de Nancy.
 
Les investigations des gendarmes se poursuivent dans le cadre de l’information judiciaire ouverte par le parquet de Nancy. Le matériel informatique qui a été saisi au domicile du suspect, fait actuellement l’objet d’expertises approfondies.
 
Alain THIESSE
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2015/08/12/viol-sur-mineur-un-elu-ecroue-oaby

Paris : des policiers tabassés par des vendeurs à la sauvette

Paris : des policiers tabassés par des vendeurs à la sauvette

La scène a été filmée vendredi par un touriste russe dans le parc des Tuileries, au pied de l’avenue des Champs-Elysées, à Paris.
Les policiers ont procédé à un contrôle de vendeurs à la sauvette, qui vendent illégalement des miniatures et autres babioles pour touristes.
L’un d’eux n’a pas apprécié de se voir confisquer sa marchandise. Avec l’aide de cinq autres, ils se sont mis à tabasser quatre policiers.
L’un des agresseurs a été interpellé et a été condamné en comparution immédiate à 5 mois de prison ferme. Les autres vendeurs ont pris la fuite avec leur marchandise, tout en insultant les forces de l’ordre.

Une femme de 31 ans soupçonnée d’avoir jeté son bébé à la poubelle

Une femme de 31 ans soupçonnée d’avoir jeté son bébé à la poubelle

Infanticide
La femme de 31 ans a déclaré avoir jeté le nouveau-né dans une poubelle à Empalot./ DDM - DDM-MICHEL VIALA
La femme de 31 ans a déclaré avoir jeté le nouveau-né dans une poubelle à Empalot./ DDM DDM-MICHEL VIALA
Hier soir, le parquet de Toulouse a ouvert une information judiciaire pour «homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans», après les déclarations inquiétantes d’une mère de 31 ans. Cette femme, placée en garde à vue samedi au commissariat central, à Toulouse, a indiqué avoir abandonné son nouveau-né dans une poubelle, dans le quartier Empalot.
Elle a été présentée au palais de justice, hier, et mise en examen par un juge d’instruction. Le parquet a pris des réquisitions de mandat de dépôt.

Nourrisson introuvable

Cette nouvelle affaire d’infanticide présumée recèle de nombreuses incertitudes. «Il y a encore beaucoup de vérifications à faire car les déclarations de cette femme ont varié tout au long de sa garde à vue», précise une source judiciaire, au parquet de Toulouse.
Le corps du nourrisson reste introuvable. Il s’agit d’une petite fille qui serait née le 26 juillet. Sa mère aurait accouché chez elle, à Empalot avant d’abandonner le bébé, probablement le lendemain, le 27 juillet, dans une poubelle. C’est en tout cas ce qu’elle aurait déclaré.

Des fouilles entreprises

Très discrets sur cette affaire sensible, les policiers de la brigade de protection des familles de la sûreté départementale poursuivent leur enquête. Ces dernières heures, de nombreuses recherches ont été effectuées dans le quartier Empalot pour tenter de retrouver le corps du nouveau-né. Des conteneurs ont été méticuleusement fouillés ainsi que tous les endroits à proximité susceptibles de contenir des déchets ménagers.
Mais sans succès. Ce bébé était-il mort-né ou décédé après avoir été abandonné ? Des questions qui pour l’instant restent sans réponse.
Le compagnon de cette mère d’origine réunionnaise ne se serait pas aperçu de sa grossesse. L’alerte a été donnée par des proches de cette femme qui travaille dans le secteur du nettoyage en milieu hospitalier.
Samedi après-midi, cette jeune femme s’est présentée au commissariat central répondant à une convocation des policiers. Durant les deux jours de garde à vue, ses déclarations ont peu à peu évolué mais de manière insuffisante.
Hier soir, le juge des libertés et de la détention devait se prononcer sur un éventuel placement en détention provisoire de la jeune femme.

Une fillette de 2 ans a ingéré cocaïne et somnifères : sa mère condamnée

Les faits se sont déroulés à Saint-Avold, en Moselle
Une fillette de 2 ans a ingéré cocaïne et somnifères : sa mère condamnée
La fillette a ingéré de la cocaïne et des somnifères. ©
illustration, AFP EITAN ABRAMOVICH
Le tribunal correctionnel de Sarreguemines (Moselle) a condamné mercredi trois personnes pour mise en danger de la vie d'une fillette de deux ans, qui avait ingéré de la cocaïne et des somnifères, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
Les faits s'étaient déroulés le 29 juin à Saint-Avold, au cours d'une soirée à laquelle la mère de l'enfant s'était rendue avec sa petite fille, a déclaré le parquet de Sarreguemines, confirmant une information du Républicain Lorrain.
Outre la mère de la fillette, âgée de 19 ans, deux hommes étaient poursuivis dans cette affaire pour mise en danger de la vie d'autrui.

Stage de responsabilité parentale

L'un d'entre eux, ami de la mère, a écopé de 15 mois de prison ferme et a été maintenu en détention. Connu des services de police, il était également poursuivi pour détention de stupéfiants.
"On n'a pas pu déterminer qu'il avait donné volontairement les produits à l'enfant, bien que les deux autres personnes l'aient dit", a précisé le parquet.
La mère de l'enfant a été condamnée à dix mois de prison dont six avec sursis. Elle devra également effectuer un stage de responsabilité parentale.
L'homme chez qui se tenait la soirée a été condamné à six mois avec sursis, une peine assortie d'une obligation de soins. La petite fille a été placée en famille d'accueil.

Plainte Avec Constitution de partie civile auprès du doyen des juges d’instruction



Plainte  Avec  Constitution de  partie civile auprès du  doyen des  juges  d’instruction

Selon  L’article  L227-5  du  code Pénal

 

Demandeur :

Mr Lorentz Emeric
5  rue  Théophile  Leducq
        93500 Pantin
Et de  Mme Moreau Christel/Marie Laure  Lorentz
 5 rue Théophile Leducq
        93500 Pantin
Et  leurs enfants concernés  Claire/ Marie  Lorentz/Clara/Christophe/ Charles / Amélie /Christian Lorentz

Contre :

Ø Aide Sociale à l’Enfance de Suresnes

                                         Sis 18 rue des Bourets 92150 Suresnes
Mme Hélène Bresson : Responsable d’Avril 2006 à Mars 2007
Mme Chambrin : Chef de service Socio-Educatif
Mme Sabrina Léon : Educatrice Spécialisée
Mr Jack Angot : Educateur Spécialisé  (venait très souvent au foyer Manin, prendre seule Clara)
Mme Anne Ourgaud : Educatrice Spécialisée
Mme C. Fonteneau : Attaché de Mme Bresson en Novembre 2006
Mr J. Pelliccini : Attaché de Mme Breson en Janvier 2007
Mr Francis Painot : Attaché Territorial auprès de Mme Bresson en Janvier 2007, puis responsable par intérim en Aout 2007
Mme Jeanne Delpy : Adjointe à la responsable de l’ASE en Mars 2008  (est venue raptée Amélie en Septembre 2010)
Mme Nadia Lakhouache : Responsable de l’ASE en Septembre 2008
Mr Olivier Oger : Responsable de l’ASE en 2010

Ø Placement Familial de Rambouillet

                          Sis 38 rue Raymond Patenôtre 78120 Rambouillet
Mr Francis Painot : Responsable
Mme Frédérique Potin : Cadre Socio-Educatif
Mme Cécille Billard : Educatrice Spécialisée  (  Référente de Claire)
Mme Corinne Martin : Educatrice Spécialisée (  Référente de  Marie-Laure ; Christophe et Charles)
Mme Véronique Chartier : Educatrice Spécialisée ( Référente de Louis)
Mr Loïc Jouanno : Educateur Spécialisé (Référent de Clara)
         Site fermé en Avril 2015 (Suite à la plainte déposé par Marie-Laure en Novembre 2014 pour maltraitance)

Ø Service d’Accueil de l’Aide Sociale à l’Enfance

                  Sis 32 Route Nationale 41350 Saint-Gervais-La –Foret
Mme Micheline Millet : Responsable
Christian Lorentz aurait été pris en charge là-bas, avant d’être adopté.  (Adoption faite par le Conseil Général du 92 en 2012, sans l’accord des parents).

Ø Aide Sociale à l’enfance de Nanterre

                                       Services des Adoptions
                                Sis : Immeuble Le Quartz  4 Avenue BenoitFrachon        92023 Nanterre cedex 
Mme Jocelyne Martin-Etelbert : Adjointe à la Directrice Famille-Enfance Jeunesse
           Conseil Départemental des Hauts-De-Seine
              Sis 2/16 Boulevard Jacques-Germain Soufflot 92023 Nanterre Cedex
Mme Anne-Claire Cezilly : Directrice du service Famille-Enfance-Jeunesse ; Droits de l’Enfants ; de la Famille et de l’Adoption
Mme Sylvie  Le Guen : Service Juridique
Avocate de l’Aide Sociale à l’Enfance
Maitre Isabelle Gracia  Avocat au Barreau de l’Essonne 11 rue des Mézières 91000 Evry
               Avocate de l’Aide Sociale à l’Enfance  (service Territorial 5)
Maitre Sandrine Cohen Avocat aux barreaux des Hauts-de-Seine 76 av. Aristide Briand 92160 Antony
Vestiaire : PN 399
Remplace Me Isabelle Garcia
Est à l’origine des mesures d’abandons envers nos enfants : Amélie et Christian Lorentz
Mr Philippe Leclerc
Mme Nathalie Leclerc  née Buntschu
Habitent quelque part en Belgique /suisse
 
Juridiques de mentir lorsqu’on est sous serment? l

SUITE SUR DEMANDE A SFCA EUROPE

info Benjamin et de son fils Aureo (sefca puteaux solidaire du papa)

Cédric Fleurigeon http://www.facebook.com/event.php?eid=264268448591 Nous demandons à tous pendant une journée, le samedi 30 janvier 2010 de changer la photo de votre profil par celle de Benjamin et de son fils Aureo Il serait bon de voir fleurir cette photo sur la toile que se soit sur Facebook, MySpace, MSN ainsi que sur tous les méd