samedi 30 août 2014

Creuse : disparition d'un bébé de 4 mois

Bébé disparu dans la Creuse : les parents placés en garde à vue - 1 (© DR)

30 août 2014, 18h - Alors que les recherches continuent pour tenter de localiser un bébé de quatre mois disparu depuis trois jours dans la Creuse, ses parents, qui affirment qu'il a été enlevé par un inconnu, ont été placés en garde à vue pour "enlèvement, séquestration et violences sur mineur".
"J'ai des raisons plausibles de croire qu'il y a des incohérences et des invraisemblances dans le discours des deux parents", a déclaré Sébastien Farges, le procureur de la République à Guéret, lors d'une conférence de presse. "Les chances de retrouver ce soir ou dans les jours qui viennent un enfant vivant, et même tout simplement de retrouver l'enfant, sont très minces", a-t-il ajouté
Les recherches pour retrouver Loan se poursuivent néanmoins samedi sur un périmètre élargi. Vendredi, plusieurs dizaines de gendarmes avaient déjà participé aux recherches, en se concentrant sur l'aire de loisirs de Chénérailles, dans l'est du département, où les parents du petit Loan ont affirmé qu'il avait été enlevé mercredi soir par un inconnu, alors qu'ils étaient en train de jouer à la pétanque. Au moins deux étangs, situés à proximité, ont été passés au peigne fin par des plongeurs, sans résultats. Une équipe cynophile et un hélicoptère ont aussi été mobilisés.

Faits divers : enfants martyrs

Trente ans de réclusion (© DR)


Trente ans de réclusion
Les parents de Marina ont été condamnés, mardi 26 juin, à trente ans de réclusion criminelle, dont vingt de sûreté, pour les actes de torture et de barbarie ayant entraîné le mort de leur fille. Eric Sabatier, 40 ans, et Virginie Darras, 33 ans, ont également été reconnus coupable de dénonciation mensongère. Le 9 septembre 2009, ils avaient faire croire à la disparition de Marina, déclenchant des recherches inutiles alors que la fillette était déjà morte depuis plusieurs semaines.
Les parents de la fillette ont également été condamnés à 10 ans de privation des droits civiques, civils et familiaux, et au civil à verser 25.000 euros à l'aîné de leurs enfants, ainsi que 20.000 euros à chacun des autres, au titre des dommages et intérêts, et un euro symbolique aux associations parties civiles. Justement, ces associations se sont montrées satisfaites du verdict : "cette peine montre que la violence qu'a subie cette enfant n'est pas banalisée", a déclaré Martine Brousse, la présidente de "La voix de l'enfance".

vendredi 29 août 2014

Un enfant de 5 ans, malade, enlevé par ses parents est en danger de mort

Ashya King, 5 ans, a été enlevé jeudi après-midi par ses parents alors qu'il était hospitalisé pour une tumeur au cerveau dans un établissement de Southampton, au sud de l'Angleterre.

Ils ont ensuite embarqué avec les six frères et soeurs d'Ashya à bord d'un ferry à destination de Cherbourg, en France, où ils sont arrivés aux environs de 20H00.

L'enfant, qui ne peut circuler qu'en fauteuil roulant, ne peut pas parler, ni bouger.

Il est en danger de mort car il nécessite de soins médicaux constants. S'il ne reçoit pas de traitement dans les heures qui viennent, il risque de mourir.

Ces britanniques circulent dans un monospace Hyundai gris immatriculé KP60HWK. Ils seraient Témoins de Jéhovah. Pour des raisons religieuses, les Témoins de Jéhovah refusent les transfusions sanguines mais acceptent d'autres formes de procédures médicales.

Le père d'Ashya, est directeur d'une entreprise dans le secteur de l'immobilier dans la région de Marbella (Espagne). Ils pourraient vouloir se rendre là-bas où il possèderait une villa.

samedi 2 août 2014

AU VENDEUREDE LA PAUVRETE SUR LE NET






Cocktail explosif

Pour arrêter  cet atrium  vira il faut que  le gouvernement s’interroge  sur  les associations   peu scrupuleuses

 Qui gagne de  l’argent sur  le dos des parents : d’autres profitent  de la  faiblesse  des parents

Ordre établie ????? La question reste posée au  gouvernement.

On dit  prévenir c’est guérir ?  Hors les faits divers d’enfants  fond  la une des  journaux

Condamnations me  diriez-vous ?  Pas assez sévères ?

Oui

 A l’heure actuelle beaucoup plus d’enfants placés sans réel motifs  arraché aux parents

Les tribunaux et  le gouvernement sont –ils  laxistes ?

Peut-on reconnaitre en France  qu’il y  a  un vrai problème sur l’intérêt supérieur de l’enfant ?

Enfin ce  mot à tendance à  disparaitre des tribunaux

Mais les juges ne sont-ils  pas partis prix ?  Probablement mais dans  le droits il y à  droits cela  impose certaine règle que  beaucoup  de  parents ont du mal  à comprendre est-ce le droits des familles qui  au fil du  temps s’effiloche à  ne  plus  comprendre  le droit ?  NON

Le droit est aussi complexe que  lire  la bible plusieurs interprétations du droit selon les départements.

A l’interprétation peux  laisser  aux néophytes perplexes.

Je  citerais cette citation «  ce n’est  pas  moi  c’est  les autre » certes  cette  devise est aussi  vrais entre  les  services sociaux et  la justice  voir les   fait  divers  ou il y a  les mise en cause des  magistrats et des services à  protéger nos  chers  bambins.

Pourtant  des textes  de loi sont sensé  nous garantir  l’équitable ,  et  l’équilibre en  le  yen  et  le  yang noir ou blanc la justice  n’est -elle pas garent de nos liberté me diriez-  vous ? Vaste question politique

Non non  pas tous corrompus  je  vous rassure mais quand  des  famille  veulent  faire du  buzz  sur  le  net  en exploitant  allégrement  la détresse des  familles  je dis  non ceci n’est pas tolérable.

Coupable les faussaires du net probablement et  la  cause  à   effet   le  prouve.

D’autres parents  se battent, et   pleurent  en  silence.

disparition de 52 kilos de cocaïne d'un coffre-fort de la PJ parisienne.

Cocaïne disparue : un policier interpellé à Perpignan


Adrien Cadorel | Publié le 02.08.2014, 12h29 | Mise à jour : 12h39


Le 36, quai des Orfèvres à Paris, siège mythique de la police judiciaire.

Le 36, quai des Orfèvres à Paris, siège mythique de la police judiciaire. | LP

                


     

Les craintes étaient bien fondées... Peu après midi, un de la Brigade des stupéfiants de la Préfecture de police de a été interpellé à Perpignan, dans le cadre de l' menée suite à la disparition de 52 kilos de cocaïne d'un coffre-fort de la PJ parisienne.
 
Si la présomption d'innocence prévaut, il semble – selon nos informations – que les policiers de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) en charge des investigations soient en possession de nombreux éléments tendant à incriminer ce fonctionnaire.
En effet, après deux jours d'une enquête éclair, les enquêteurs de la « police des polices » ont rapidement identifié un « suspect de tout premier plan », suite à des témoignages recueillis au sein de la mythique enceinte du « 36 » Quai des Orfèvres, mais également par l'exploitation d'images de vidéosurveillance, qualifiées de « particulièrement troublantes ».

Un témoignage capital

Que s'est-il réellement passé ? Dépêchés vendredi midi dans les locaux de la PJ parisienne, les policiers de l'IGPN ont mené de nombreuses auditions, notamment parmi les membres de la brigade des stups. « Dans ce cas là, l'enquête s'attarde sur la personnalité de quelques éléments qui ont pu faire naître des soupçons », nous révélait hier un officier passé dans les rangs des « bœufs carottes ».
« On étudie ceux qui ont pu avoir des comportements particuliers, ou qui sont connus pour avoir quelques soucis de trésorerie personnelle, voir un niveau de vie en décalage avec leurs revenus déclarés ». Mais très vite, un témoignage va accélérer l'enquête : celui d'une jeune femme, elle même fonctionnaire de police, qui va avouer aux enquêteurs avoir vu en milieu de semaine dernière, le suspect entrer dans l'enceinte du bâtiment avec des sacs plastiques vides. Selon elle, il en ressortira quelques minutes plus tard, avec les mêmes sacs pleins.

La vidéosurveillance parle

Fort de ce témoignage, les « bœufs-carottes » vont examiner les images de vidéosurveillance, filmées par des caméras extérieures avoisinantes. Sur celles-ci, la silhouette d'un homme se distingue. Rapidement, les enquêteurs de l'IGPN vont présenter l'image à plusieurs fonctionnaires qui seront unanimes : il s'agit d'un brigadier de la brigade des stups. Celui-ci aurait attiré l'attention de plusieurs collègues au cour des derniers mois, à l'occasion de deux enquêtes au cour desquelles il aurait eu « un comportement suspect ». Mais hier matin, celui-ci n'était pas présent à son poste, en raison du début de sa période de congés qu'il prévoyait de passer dans la région de Perpignan. Soucieux de l'interpeller rapidement, les membres de l'IGPN ont gagné vendredi après-midi les environs de la ville, aidés par leurs collègues de Marseille qui devaient les assister lors de la phase d'interpellation. Celui-ci doit désormais s'expliquer devant les policiers de la police des polices, persuadés d'avoir interpeller le responsable présumé du vol le plus ambitieux réalisé au sein du mythique « 36 ».

info Benjamin et de son fils Aureo (sefca puteaux solidaire du papa)

Cédric Fleurigeon http://www.facebook.com/event.php?eid=264268448591 Nous demandons à tous pendant une journée, le samedi 30 janvier 2010 de changer la photo de votre profil par celle de Benjamin et de son fils Aureo Il serait bon de voir fleurir cette photo sur la toile que se soit sur Facebook, MySpace, MSN ainsi que sur tous les méd