mercredi 29 février 2012

Information: 851 jours sans voir nos enfants. UNE ERREUR DE JOUR MODIFIER

Information: 501 jours sans voir nos enfants.







A ce jour le 29/02/2012, cela fait exactement 501 jours que nous n’avons pas vu tous nos enfants,

(Claire ; Marie-Laure ; Clara ; Christophe ; Charles ; Louis ; Amélie et Christian). Amélie à aujourd’hui 1 an et 5mois, et à cause du juge des Enfants, Mme Martine Novella et du Placement Familial de Rambouillet, en la personne de Mr Francis Painot son responsable, Amélie ne connait pas ces parents. Mais bien entendu, ni le juge des Enfants, ni la Cour d’Appel de Versailles ne semblent être ému par ce fait, puisqu’ils continuent dans leurs allégations pour garder tous nos enfants. C’est vrai que cela leur rapporte beaucoup d’argent. Plus de 7000 euros par mois, par enfants placés. En ce qui concerne notre dernier Christian qui a 5 mois, c’est beaucoup plus grave, car le juge des Enfants Mme Martine Novella, a placé notre enfant, sans nous convoqués c’est quand même un comble.


Nous avions un courrier très important à remettre en main propre au juge Mme Novella , nous sommes donc allée dans son bureau , puisqu’il n’y avait personne d’autre au Tribunal pour Enfants , c’était le Lundi 19 décembre 2011, elle nous a dit , je site ces propos : « dégagés, vous n’avez rien à faire ici. » Nous sommes donc repartis. Petite précision, le juge faisait ces mots croisés. Nous sommes retournés au Tribunal pour Enfants, fin Décembre, pour voir la greffière du 1 er Président, et lui demandé si c’est normal que des parents ne soient pas entendu, par le juge des Enfants. A notre grande surprise, ce n’est pas la greffière du 1 er Président que nous avons vue, mais la greffière de Mme Novella qui nous a dit textuellement, je cite ces propos : « Nous n’avons pas besoin d’entendre les Parents pour placer des enfants, même en cas de mesure d’urgence. » Alors là c’est le bouquet, je ne savais pas que dans les codes Civil ou Pénal, il y avait un texte, pour placer les Enfants sans entendre les parents, et sans leur faire parvenir de jugement. La greffière du 1 er Président était en audience ce jour-là, c’est pour cela que nous n’avons pas pu la voir. Si ça ce n’est pas du racisme ! Nous avons bien entendu interjeté une décision fantôme, puisque nous n’avons toujours pas reçu de jugement concernant Christian. En date du 19/12/11, nous avons déposé au Parquet de Nanterre une plainte avec constitution de partie civile à l’encontre du juge des enfants, du responsable du Placement Familial de Rambouillet, et le responsable de l’ASE de Suresnes Mr Oger. Une mesure de destitution du juge des enfants Mme Novella au 1 er Président du juge des Enfants de Nanterre. Le

Jeudi 29/12/2011, nous avons saisi le 1 er Président de la Cour d’Appel de Versailles par requête. Et enfin nous avons saisi le Tribunal Administratif de Versailles en date du Jeudi 22/12/2011.


Là encore aucunes réponses de ces différents services. Nous avons fait aujourd’hui des courriers en AR, pour demander des explications, et si nous n’avons aucune réponse, et bien nous ferons des assignations à comparaitre via un Huissier de Justice. Nous sommes très inquiet au sujet de la santé de nos enfants, et au niveau de leurs scolarité, mais bien évidemment devant ces là, ils e faut rien laisser paraitre, alors que tous les jours nous pleurons.

Le plus drôle dans tout ça, c’est qu’ils osent donnés des conseils aux parents, alors qu’eux-mêmes ne sont pas capable de régler les problèmes avec leurs propres enfants. Cela nous laissent dubitatif , sur l’avenir des enfants qui sont confiés à des incompétents.

lundi 27 février 2012

NFO to relay on all blogs, for the memory of a Putéolien. Appeal INFO to relay on all


INFO to relay on all blogs, for the memory of a Putéolien. Appeal



INFO to relay on all blogs, for the memory of a Putéolien. Appeal for funds
INFO to relay on all blogs, for the memory of a Putéolien. Call for donations. February 27, 2012 by lagazettedeputeaux modify A Putéolien just died in the fire from his apartment, he it was separated from his wife it 5 years ago, and then his MOM is décédéeet shortly after he had lost his job. Not to mention that the Mayor Ms. Joëlle Ceccaldi-Raynaud had in December deported to this man. He remains more than her daughter which unfortunately does not have the means to pay funeral expenses which are very heavy. It may thus be found in the mass grave.For not such a thing to happen, be that everyone rallies and gives something by these means, to offer funeral. It is for this that I call the donation. Whether 05,00 euros; 10, 00 euros or more that is important, it is the gesture that counts.In memory of this poor man died in truly atrocious conditions. Thank you for him.You can send your donations to the Association SEFCA Ms. Christel Moreau 5 rue Théophile Leducq box 42 93500 Pantin.Les thus collected donations will be used to make the reliable funeral.For the story: we personally know this man, who was smiling and friendly to others.

INFO à relayer sur tous les blogs ,pour la mémoire d’un Putéolien. Appel



INFO à relayer sur tous les blogs ,pour la mémoire d’un Putéolien. Appel aux dons
INFO à relayer sur tous les blogs ,pour la mémoire d’un Putéolien. Appel aux dons.février 27, 2012 par lagazettedeputeaux Modifier Un Putéolien vient de décédé dans l’incendie de son appartement,Il c’était séparé de sa femme il y 5 ans, puis sa maman est décédéeet peu de temps après il avait perdu son emploi. Sans compter que le Maire Mme Joëlle Ceccaldi-Raynaud avait fait en Décembre une mesure d’expulsion envers cet homme.Il ne lui reste plus que sa fille qui malheureusement n’a pas les moyens de payer les frais d’Obsèques qui sont très lourds. Il risque donc de se retrouver dans la fosse commune.Pour ne pas qu’une telle chose se produise, il faut que tout le monde se mobilise et donneQuelque chose en fonction de ces moyens, pour pouvoir lui offrir des obsèques. C’est pour cela que je lance un appel au don. Que ce soit 05,00 euros ; 10 ,00 euros ou plus qu’importe, c’est le geste qui compte.En mémoire de ce pauvre homme mort dans des conditions vraiment atroces. Merci pour lui.Vous pouvez adresser vos dons à l’Association SEFCA Mme Christel Moreau 5 rue Théophile Leducq Boite 42 93500 Pantin.Les dons ainsi récoltés serviront à lui faire des obsèques dignes.Pour la petite histoire :Nous connaissions personnellement cet homme, qui était souriant et avenant pour les autres.

samedi 25 février 2012

nouveau logo quand pensez vous du nouveau logo de SEFCA EUROPE

The contemporary influence of judges (bibliography)


The contemporary influence of judges (bibliography)




The Gallimard editions have just published the second volume of a study entitled "The State of justice, France" 13th-20th century "."



This second volume is entitled "The contemporary influence of judges".



The author is Jacques Krynen, Professor at the University of Toulouse-1 Capitol




Jacques Krynen publication, the State of justice. France, 13th-20th century. Volume II. The contemporary right-of-way of the judges, Paris, Éditions Gallimard, Collection Library of stories, Paris, 2012, 432 p. ISBN 978-2-07-012498-5.



Editor presentation




Justice done more that decide the trial, the following is guardian of the values of the Republic and democracy.




More nothing nor anyone escapes his interventions, sanctions. This right of the judiciary on the March of power is a detectable phenomenon as early as the middle ages and increases under the former regime, showed Jacques Krynen in a first volume. If it was fought by the reform of the institutions, forms and legal proceedings during the revolution, it was without the following day, he adds in the second.





In the 19th century, judges began to affirm a knowledge and a professional conscience not reducible to the decisions of political power. In all areas of private and public life, the France is again, in the 20th century, under the auspices of the "rule of law", the State of justice that it had been under the monarchy. How and why in she returned there? How is this compatible with the democratic dogma

mercredi 22 février 2012

CHRONICLE OF AFTER STRIKE 18/02/2012

CHRONICLE OF AFTER STRIKE 18/02/2012



632ème day without my daughter. Section dedicated to Emilie, anonymous support, who knows what lives Nina.

Following a preliminary interview with a psychologist of the gateway, we set a meeting date with my daughter on March 10, 2012, in 21 days. 21 days in addition to 632 days during which I did not kiss my daughter. Meeting set pending the findings of the judge (the lawyers made their records on February 6, the courts are congested... the same refrain since almost two years). A this psychologist, I asked many questions: can I come with big doudou and the small doudou? Bring photos of his family waiting for him? Books? Can I kiss him? The porter on my knees? Of course, she replied, you are his father, and justice is no charges against you!

These two years of separation are surreal, like situation.... Ask if I can kiss my daughter! Both this meeting seems to me a dream, an illusion. My daughter in my arms March 10... I fostered with me a big bag of mountain, with inside, great doudou, small doudou, photos (of Grandma and Grandpa and family), books... and my successful kisses.



You who support me since all this time, you will share somewhere this meeting with us. Nina will be raised, 6 years in May. Thank you all and to you all, the outcome is close.



Maybe my daughter will tell me, as two years ago, as each time after a few days of separation (alternating guard):

-Daddy, I'm glad to see you, you have missed me, I love you.



Perhaps boudera me. Parental alienation, conflict of loyalties... Who knows?



Either way, I will be patient and attentive. Tomorrow we expected. Combat was difficult, but for your face of child, for your smile, to your fears, for your questions, for the happiness to see you resume your scooter... It will turn the page, on change of book. It will write our lives, it will write our history. Yes it will be another book, another life. A soon my daughter, Nina soon, my child loved.

http://lepapadenina.over-blog.com/

Les enfants placés prennent la parole


Les enfants placés prennent la parole
dimanche 18 octobre 2009


Celles et ceux dont on a volé l’enfance racontent leurs expériences, leurs traumatismes et leurs vies « d’après ». Une exposition à voir et à écouter au Musée historique de Lausanne jusqu’au 15 novembre 2009.

Que se passe-t-il dans le coeur et la tête d’un enfant subitement séparé de ses parents et placé dans une famille d’accueil ou dans un foyer ? L’exposition intitulée « Enfances volées » donne la parole à ces personnes qui évoquent les traumatismes, les humiliations, les mauvais traitements et les violences qu’elles ont parfois subis, l’arbitraire de mesures judiciaires, les sentiments d’abandon, de mise à l’écart et de solitude. Elles parlent de leurs souvenirs, mais aussi de leur vie « d’après » et de la façon dont elles ont essayé de dépasser cette expérience souvent douloureuse.

L’exposition repose sur près de 300 interviews de personnes placées chez des particuliers ou dans des institutions durant leur enfance. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre de deux projets de recherche menés à l’Ecole d’Etudes Sociales et Pédagogiques de Lausanne et à l’Université de Bâle entre 2003 et 2007 et consacrés à des événements et à des expériences personnelles vécues entre les années 1920 et 1960.

Dans la partie de l’exposition consacrée aux « stratégies de dépassement », les enfants placés devenus adultes expliquent combien ils refoulent leur propre enfance et la considèrent souvent comme un épisode tabou. Ils aspirent à la normalité, à la conformité, à la réussite familiale et professionnelle. D’autres ont eu recours à l’écriture, la peinture ou d’autres formes de créativité pour oublier les souvenirs pénibles ou s’y confronter. Certains ont vécu de profondes dépressions ou des tentatives de suicide. D’autres encore ont fui dans la maladie psychique, le déni ou la criminalité.

L’exposition se termine en ouvrant le débat sur les questions d’aujourd’hui. Car on estime qu’il existe actuellement en Suisse environ 25’000 enfants placés en famille d’accueil ou en foyer. Comment se passe leur éducation ? Ces placements peuvent-ils encore mener à des abus et si oui, pourquoi ? Est-il nécessaire d’améliorer l’offre actuelle en matière de placement ?

« Enfances volées » s’adresse aux personnes touchées et à leurs descendants, aux enseignants et aux écoles, aux personnes actives dans le domaine de l’éducation (juristes, socio-pédagogues, éducatrices et éducateurs), aux chercheurs qui abordent le sujet de l’éducation hors du foyer familial et à tous ceux qui s’intéressent au dialogue entre la recherche scientifique, la discussion politique et l’engagement citoyen.

Marylou Rey

« Enfances volées – Regards et témoignages d’enfants placés », Musée historique de Lausanne, jusqu’au 15 novembre 2009.
Cette exposition itinérante bilingue a déjà été présentée à Berne où elle a attiré 18’000 visiteurs et une centaine de classes d’écoliers. Elle voyagera entre 2009 et 2013 dans une douzaine de musées en Suisse alémanique et en Suisse romande. Le volet régional vaudois illustre les réformes menées dans les années 50 à l’institution Le Châtelard et à la Maison d’éducation de Vennes.
Photos : Paul Senn, FFV, Kunstmuseum Bern, Dep. GKS. © GKS.

1. Les garçons et le directeur, Foyer pour garçons, Oberbipp, Canton de Berne, 1940

2. Garçons au travail, Etablissement de Sonnenberg, Kriens, 1944

3. Tuteur commis d’office en visite chez une famille d’accueil, Canton de Berne, 1946

4. L’inspecteur des pauvres contrôle les souliers d’une jeune fille placée, Canton de Berne, 1940

5. Fillette placée en train de tricoter, Canton de Berne, 1946

6. L’inspecteur des pauvres contrôle la dentition d’une fillette placée, Canton de Berne, 1940

7. Garçon du foyer du Sonnenberg au travail, Kriens, 1944

8. Garçons du foyer de Sonnenberg au travail, Kriens, 1944

9. Famille dont les trois enfants plus âgés ont déjà été placés, Canton de Berne, 1946

http://www.reiso.org/spip.php?page=album&id_article=444

Communiqué de presse

1. Communiqué de presse
"Chère rédaction,

Alors que la Suisse vient de débloquer une somme de 134.000 francs afin de permettre aux historiens d'étudier le destin des enfants placés, des milliards de francs d'impôts continuent à être "investis" dans les placements d'enfants hors de leur famille. Selon les données de "Pflegekinder Aktion Schweiz", 14.000 enfants vivent dans des familles d'accueil, 11.000 autres vivent dans des homes.

Il est beaucoup moins connu que des enfants sont placés selon des critères commerciaux par des entrepreneurs privés et des sociétés anonymes, qui donnent une préférence donnée aux paysans, et ceci après que les enfants aient été arrachés à leur famille par des autorités incompétentes et faisant preuve d'amateurisme.

Pour pouvoir payer les CHF 200.-/jour et par enfant aux entreprises qui organisent ces placements, il faut augmenter les impôts. Les mesures de bien-être et d'accompagnement de l'enfant sont donc soumises à des facteurs d'ordre économique. Les enfants acquièrent une valeur marchande selon la loi de l'offre et de la demande. Et tout ceci à l'abri du regard des Autorités de surveillance et sans fondement juridique! Nous avons donc adressé une lettre ouverte à Monsieur le Conseiller fédéral Christophe Blocher, pour lui signaler ce commerce parallèle.

La publication de cette lettre ouverte dans votre journal serait bienvenue. Notre personne de contact, M. Michael Handel, est atteignable au N° 071.411.78.80. Il répondra volontiers à vos questions.

Avec nos bonnes salutations

Samuel Brüngger

Association ZIVILCOURAGE"
http://www.fredi.org/index.php/Trafic-d-enfants/SuisseCommerce-d-enfants.html

Etienne Rigal, judge of the weak

Etienne Rigal, judge of the weak

by lagazettedeputeaux

Etienne Rigal, judge of the weak

By Claire Chartier





He is the hero of the last book of Emmanuel Carrère, other lives than mine. Portrait of Etienne Rigal, judge specialist in consumption.

Here it is, with her frail voice and robust body. A body of good living, which was able to friend-friend with the artificial leg that is devine under pants. Etienne Rigal walking mad paw since the age of 18 years. Eternal memory of cancer of the fibula, concluded by an amputation. Of this bad joke of the existence he fired an axiom: "Anything that comes from me is me." Disease, missteps, the acts with which we are not proud, such as those that grow you.



It must begin here to tell Etienne Rigal, 46 years, judge specialist in the consumer and light character of the last book of Emmanuel Carrère, other lives than mine (POL). Judge against exclusion is a formula that is more suited to this angry silencer, weighing every word, fleeing easy compassion. As echoes in this leg whose life deprived, it does not support the idea that citizens be banned from the "body of society" - it is his expression - for playing Russian roulette with their bank account. "Cancer has taught me the indulgence towards myself, he said." "Why would I make moral people who made mistakes, while me I spend on my own?"



The defender of the overburdened



Selected and complex, Etienne Rigal pushed the judicial tradition daring to defend the rights of bad payers. These overburdened, the offending history, slamming more than they win and are even not to the judge. As Emmanuel Carrère, it would have liked to be in Vienna (Isère), in the 1990s, to attend the hearings of Etienne, young magistrate in the Court of the city. In this quiet jurisdiction on the Rhone, he reveals L'EMMERDEUR outstanding qualities. Soon, credit agencies did more than this "judge red" - he said social democratic - who caught them by denouncing their advertisements to characters fly legs (less than 8 regulatory body) and irregular clauses from their contracts are... "Etienne is a determined lawyer" soberly summarizes his friend j. Philippe Flores, one of his former comrades to fight. Meticulous, sometimes sharp, the magistrate imposes little by little by its judgments the legitimacy of its action: it is based to an injustice which the victim is not complaint. Because the law is there for everyone. And that it protects the low spirits against those who want to take advantage. The Cofidis and Cofinoga strike back. In the spring of 2000, the Court of cassation whistles the end of recess.



There is still a justice. Year 2000 again, but in the month of October, this time. The magistrate is in his Office, occupied to browse legal journals. He suddenly falls on a judgment of the Court of justice of the European Communities (ECJ). It is matter of a credit society requiring contract its borrowers dissatisfied to file complaint to the tribunal of Barcelona, city where the Pharmacy has its headquarters. A catalan judge declares the unfair term. The ECJ gives him reason. This case law allows Etienne and his colleague Juliette start in the field. He turned to turn to the ECJ, successfully. Trial judges can now assert the rights of debtors in their place, if applicable. And the debtors, plead their cause without limitation. Etienne is now Vice-President of the High Court of Lyon. "I have the impression to my contract to me and others, slide it." It is an incredible opportunity. "All the rest, it is the rab."

dimanche 19 février 2012

Mme Martine Agnel, épouse Novella

Décret du 8 juillet 2003 portant nomination (magistrature)

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NOR : JUSB0310313D






Vice-présidentes :

Mme Nicole Jarno, épouse Salem, vice-présidente chargée de l'application des peines au tribunal de grande instance de Pontoise ;

Mme Patricia Rumeau-Berger, juge au tribunal de grande instance de Paris.

Vice-présidente chargée des fonctions de juge des enfants : Mme Martine Agnel, épouse Novella, juge des enfants au tribunal de grande instance de Paris.

samedi 18 février 2012

Whitney Houston












Tomorrow, at daybreak...

Tomorrow, at daybreak, at a time where whitens the campaign,

I leave. You see, I know that you expect.

I'll go through the forest, I'll go by the mountain.

I will then stay away from you longer.



I'll walk the eyes fixed on my thoughts,

Nothing see outside without hearing any sound,

Alone, unknown, curved back, hands crossed,.

Sad, and the day for me will be as the night.



I
â did or the gold of the evening falls,

Neither the sails in the distance down to Harfleur,

And when I arrive, I will put on your grave

A bouquet of green Holly and Heather in flower.

vendredi 17 février 2012

A l'ATTENTION DES PUTEOLIENS QUI CE BATTENT


Pour Tous ceux qui se battent à Puteaux , pour plus de justice. C’était les Sans-Culottes qui chantaient ça !
février 16, 2012 par lagazettedeputeaux



Parodie de la célèbre chanson:

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Le peuple en ce jour sans cesse répète,

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Malgré les mutins tout réussira.

Nos ennemis confus en restent là

Et nous allons chanter alléluia !

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Quand Boileau jadis du clergé parla

Comme un prophète il a prédit cela.

En chantant ma chansonnette

Avec plaisir on dira:

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Suivant les maximes de l’évangile

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Du législateur tout s’accomplira.

Celui qui s’élève on l’abaissera

Celui qui s’abaisse on l’élèvera.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Le vrai catéchisme nous instruira

Et l’affreux fanatisme s’éteindra.

Pour être à la loi docile

Tout Français s’exercera.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

François et Martine chantent la guinguette

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Réjouissons-nous, le bon temps viendra!

Le peuple français jadis à quia,

Les administrés dit : mea cilpa!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Le clergé regrette le bien qu’il a,

Par justice, la nation l’aura.

Par le prudent Lafayette,

Tout le monde s’apaisera.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Par les flambeaux de l’auguste assemblé,

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Le peuple armé toujours se gardera.

Le vrai d’avec le faux l’on connaîtra,

Le citoyen pour le bien soutiendra.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Quand les administrés protesteront,

Le bon citoyen au nez lui rira,

Sans avoir l’âme troublée,

Toujours le plus fort sera.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Petits comme grands sont soldats dans l’âme,

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Pendant la guerre aucun ne trahira.

Avec cœur tout bon français combattra,

S’il voit du louche, hardiment parlera.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Lafayette dit : “Vienne qui voudra!”

Sans craindre ni feu, ni flamme,

le français toujours vaincra!

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Paroles anonymes ajoutées plus tard:

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Le GOUVERNEMENT à la lanterne,

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira!

Les administrés, on les pendra!

Et quand on les aura tous pendus,

On leur fich’ra la pelle au cul.

Puteaux UMP Bürgermeister soll den Kauf eines Citroën C6... auf 50.000 Euro ausblenden


Puteaux UMP Bürgermeister soll den Kauf eines Citroën C6... auf 50.000 Euro ausblenden

Puteaux UMP Bürgermeister soll den Kauf eines Citroën C6... auf 50.000 Euro ausblenden





Es ist das gleiche Modell wie auf dem Bild oben, aber mit getönten Scheiben... UMP Bürgermeister von Puteaux anerkannt letzte Nacht in der Gemeindevertretung haben der Stadt ein neues Fahrzeug für Reisen gekauft: ein Citroen C6 Limousine auf 50.000 Euro.



In der Sitzung, Joëlle Ceccaldi-Raynaud zunächst geweigert Ausgabenbetrag zugeben. In der Tat, war Beratung dargestellt, so dass die Limousine mit dem Kauf von 2 vans auf 12.000 Euro für die technischen Dienste der Stadt geschmolzen war. Der Bürgermeister stellt uns ein Blatt, das nur angegebene der "von 2 Fahrzeugen und ein leichtes Fahrzeug von den Diensten der Stadt für 62.818 Euro Erwerb" HT oder 75.000 Euro TTC.



Dann übernimmt ein genügend Comic Exchange: "welche Art von Fahrzeug-Licht ist es", fragte ich. "Heuuu, ich weiß nicht", antwortete: "Sie wissen, dass ich nichts weiß, mit dem Auto". Es erkennt, dass die Limousine für seine Verwendung. In Zeiten der Krise das erschreckt Sie nicht solche Ausgaben? ", frage ich ihn." "Wir haben Politik, Auto alle 5 Jahre zu ändern," antwortete sie. "Und dann, berücksichtigen den Wiederverkauf von meinem alten Fahrzeug", fügt sie hinzu.



Die Putéoliens wird zufrieden sein, um zu wissen, dass der Bürgermeister hat eine schöne Limousine von zu Hause im Rathaus gehen neue (300 Meter) und das Rathaus am Sitz der EPADESA, dass sie Stühle (800 m)!



Quelle meiner puteaux.com

Expelled in full City Council: it goes to Puteaux! all the world speaks






Expelled in full City Council: it goes to Puteaux! all the world speaks

Expelled in full City Council: it goes to Puteaux!

February 18, 2012 by lagazettedeputeaux



Expelled in full City Council: it goes to Puteaux!

The Point.fr-













Stormy session of the municipal executive. Joëlle Ceccaldi-Raynaud is expelling an opponent manu militari. The Point.fr was.







The Mayor of Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud. -/ Sipa







He keeps some stigma of its last municipal Council: "of pain in the back and blue everywhere." And for cause, yesterday evening, Christophe Grébert, the opponent (MoDem) to the Mayor of Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP), was expelled by the police in a full session of the municipal Council.



He was 21 h 20 when the aedile was preparing to vote a deliberation to have the support of his legal costs in a complaint for libel against the fameux… Grébert. In October 2011 - time where duck chained had mysteriously disappeared from kiosks in the city of the Hauts de Seine-, Blogger of monputeaux.com left doubt about the origin of the funds that enabled the purchase of 600 copies, in an article in the Figaro.fr. It should be noted that the duck was the ex-suppléante of Nicolas Sarkozy of "hidden" (sic) 4 million euros in havens nontariff



"Raised by six men"

Last night, the local troublemaker has therefore tried to explain why he would not vote this deliberation. "I talked to 30 seconds and she cut me my mic," says Grébert, currently pursued in six different procedures by the daughter of Charles Ceccaldi-Raynaud. And further: "an officer in civil, which I suspected to serve as a personal police to the Mayor, arrived accompanied by five municipal police officers." "This gentleman attempted to pull the sheet that I read and they all released manu militari!" In a handrail, filed in the Puteaux station, Sylvie Cancelloni, elected opposition and close to the Mayor of Neuilly, Jean-Christophe Fromantin, shows the same scene: "Mr Grébert is literally raised by six men and trained with a brutal at the exit of the room."



It remains to know the reason for the deportation. To the press service of the Town Hall, it was explained that there has been a "disorder" that disrupted the smooth running of the meeting. Of course, but this "disorder" was it the use of public force?



"Reluctantly"

Learning the presence of a journalist from the Point in the stands after the Council, Joëlle Ceccaldi-Raynaud held we express, in a personal email, his version of the facts: "Beyond the often false and defamatory remarks that he utters without restraint, Mr. Grébert wished away the subject of deliberation to evoke a case currently in training, she writes." I asked him to stop, she continues. "I hoped that it was calm." It is therefore "reluctantly", she, said that the Mayor of Puteaux had to seek "support of the force publique to expel" the agitator (click here to view all of the mail of Joëlle Ceccaldi-Raynaud).



Subsequently be solved, once, to the tribunal, since Mr. Grébert account to the criminal.



Here are other newspapers who speaks:



The Parisien



http://www.leparisien.fr/Espace-premium/Paris-75/UN-Conseil-municipal-houleux-17-02-2012-1864513.php



Street 89



http://www.Rue89.com/2012/02/17/UN-Elu-dopposition-Expulse-du-Conseil-municipal-de-Puteaux-229483



arrêtsurimage



http://www.arretsurimages.NET/vite.php?id=13182



AFP



http://LCI.TF1.fr/filnews/France/Puteaux-UN-Elu-d-opposition-Expulse-Manu-militari-du-Conseil-7001206.html



Streetpress



http://www.streetpress.com/Sujet/19617-Puteaux-Christophe-grebert-Expulse-de-force-du-Conseil-municipal



Libé



http://www.Liberation.fr/politiques/01012390765-la-Maire-UMP-de-Puteaux-fait-taire-l-opposition-Manu-militari



France 3



http://Paris-Ile-de-France.france3.fr/info/Puteaux-c-grebert-Expulse-du-Conseil-municipal-72552874.html



http://lagazettedeputeaux.WordPress.com/



http://www.nadinejeanne.com/

mardi 14 février 2012

Drame de la séparation : elle poignarde à mort son bébé de sept mois


Drame de la séparation : elle poignarde à mort son bébé de sept mois

février 14, 2012 par lagazettedeputeaux

Drame de la séparation : elle poignarde à mort son bébé de sept mois




Un bébé de sept mois a été poignardé à mort mardi matin dans la Loire par sa mère, selon le parquet de Saint-Etienne.
| Idé

Un bébé de sept mois a été poignardé à mortpar sa mère, mardi matin à Roche-la-Molière (Loire). «Cet enfant est mort d’avoir reçu plusieurs coups de couteau», a expliqué Jean-Daniel Regnauld, procureur de la République de Saint-Etienne.La mère a elle-même donné l’alerte vers 9 heures, en se rendant chez son voisin, qui a tenté de ranimer l’enfant, en vain, dans l’attente de l’arrivée des pompiers.


Ceux-ci n’ont pas non plus réussi à ranimer le petit garçon. La mère a expliqué son geste à ses voisins par le «drame de la séparation» : elle est en instance de séparation d’avec son compagnon, avec lequel elle est pacsée.

Elle est «calme et lucide», visiblement «pas alcoolisée» selon le procureur

La jeune femme a été placée en garde à vue au commissariat central de Saint-Etienne. Au moment d’y être conduite, «elle a dit qu’elle était prête à s’expliquer, elle avait préparé ses affaires pour la garde à vue et la prison après», a raconté Jean-Daniel Regnauld. Le magistrat, qui s’est rendu sur place, l’a trouvée «calme et lucide», visiblement «pas alcoolisée». Elle a été examinée par un médecin, qui a conditionné son placement en garde à vue à un entretien avec un psychiatre, qui n’avait pas encore eu lieu mardi après-midi, a précisé le parquet.

Cette mère de famille trentenaire a un deuxième enfant, plus âgé, lourdement handicapé, qui n’était pas sur place au moment des faits. Il est issu d’une union précédente, a précisé le parquet. L’enquête devra déterminer s’il s’agit d’un meurtre avec préméditation, passible de la perpétuité ou d’une impulsion violente et soudaine.

«Elle paraissait proche de ses enfants… C’est incompréhensible et inimaginable. Elle avait sans doute des soucis personnels, mais elle n’avait pas l’air en difficulté», a témoigné une voisine sous couvert de l’anonymat, décrivant une jeune femme grande et mince, «qui marchait beaucoup».

.Selon Le Progrès, «une vive émotion était palpable sur place» alors qu’une cellule psychologique a été mise en place.

vendredi 10 février 2012

A desperate Swiss attempts self-immolation for the custody of daughter


A desperate Swiss attempts self-immolation for the custody of daughter


The run of a couple of Swiss with the girl they had been removed guard is is tragically completed Friday in the southwest of the France when the mother, desperate that it has found them, attempted self-immolation by fire in full public place.



The run of a couple of Swiss with the girl they had been removed guard is is tragically completed Friday in the southwest of the France when the mother, desperate that it has found them, attempted self-immolation by fire in full public place.



For this mother of 47 years in the district of Nyon, the flight took ends Friday morning at the health centre of Carcassonne, where she started the fire after to be apparently doused the lower body with gasoline. She was rescued and his days are not in danger, said to the press the Attorney of Carcassonne, Antoine Leroy.



The day before, daughter of nine and a half years again was removed and placed in a foster home by the services of the General Council.



The mother was fled from Switzerland December 24 with his daughter. It had benefited from a visit to her child for Christmas. The girl, as his older half-sister, had been withdrawn to the couple in October 2011 because his father was suspected of sexual abuse.



He joined his girlfriend and her daughter in their run.



After different stages, they eventually find refuge in the Aude, near Carcassonne. The girl there has even been educated. But parents, whom neither the identity nor the social environment have been revealed, were identified.



The French authorities were contacted by their Swiss counterparts shortly after the disappearance of the couple and their child, after they had been located across the border from their mobile phone.



The mother was "understood that his run would end" and in appearing Friday before social services where she had an appointment, she made "dramatic gesture, of distress" and attempted self-immolation, not without having previously warned by telephone a regional newspaper and the police of what she was about to do so, reported the Attorney of Carcassonne.



The Director of the health centre was able to extinguish the fire with a fire extinguisher and a blanket. Burned, the woman was hospitalized.



For the child, she was placed in a foster home and will be repatriated "in the coming days", said the Attorney, as provided for in an agreement between the Switzerland and the France.



The father, he not was stopped, no criminal prosecution not to; This is his girlfriend who is regarded as the instigator of the abduction of the child.



Singular coincidence, another mother and her daughter, all two Swiss and missing from their homes in Switzerland January, are to be found safe and sound elsewhere in the Southwest, in a village in the Lot-et-Garonne.



After their Switzerland, their trace was lost in Paris. A call to witnesses was launched Wednesday by the Central Directorate of the judicial police (LUTTE). But Thursday, the Swiss police have warned their French counterparts that the mother and daughter were at a farmer in a village in the Lot-et-Garonne.



These two cases have nothing to do with the other, said the Attorney of Carcassonne.



source point

Carcassonne Privée de sa fille depuis une semaine, une maman s'immole par le feu


Carcassonne Privée de sa fille depuis une semaine, une maman s'immole par le feu


image illustration

Midilibre.fr
Ce matin, vers 9 h 30, une femme de 47 ans s'est immolée par le feu dans l'enceinte du centre médico-social de Carcassonne, rue du Palais, pour protester contre la décision de la priver de la garde de sa fille.

La maman, qui ne pouvait plus voir sa fille depuis une semaine est entrée dans les locaux, s'est aspergé l'abdomen et les membres inférieurs d'alcool à brûler et s'est immolée par le feu devant les employés médusés.


Elle a été soignée en urgence sur place, et a été transportée très vite au Centre hospitalier de Carcassonne. Elle souffre de graves brûlures. Elle pourrait être conduite au CHU Lapeyronnie de Montpellier ou à Toulouse dans la journée.

Carcassonne privato di sua figlia per una settimana, una madre ustioni da incendio


Carcassonne privato di sua figlia per una settimana, una madre ustioni da incendio





illustrazione di immagine



Midilibre.fr

Questa mattina, a circa 9:30, una donna di 47 è sottoposto dal fuoco all'interno del centro di salute di Carcassonne, Palazzo strada per protestare contro la decisione per privarla della custodia di sua figlia.



La madre, che non poteva vedere la figlia per una settimana entrato i locali, è spruzzato all'addome e degli arti inferiori di alcol per bruciare ed è contro gli incendi sbalorditi dipendenti.





Lei fu guarita d'emergenza in loco e fu trasportata rapidamente per il Centre hospitalier de Carcassonne. Lei soffre di gravi ustioni. Essa potrebbe essere guidato per la Lapeyronnie CHU da Montpellier o Tolosa nel corso della giornata.

Carcasona privados de su hija durante una semana, una madre de quemaduras por fuego


Carcasona privados de su hija durante una semana, una madre de quemaduras por fuego





Ilustración de la imagen



Midilibre.fr

Esta mañana, en aproximadamente 9:30, es de una mujer de 47 está sometido por el fuego dentro del centro de salud de Carcasona, Palacio de la calle para protestar contra la decisión de privar de la custodia de su hija.



La madre, que no podía ver a su hija durante una semana entró en los locales, se rocía el abdomen y las extremidades inferiores de alcohol de quemar y es contra incendio exclamando empleados.





Ella fue curada emergencia in situ y fue transportada rápidamente en el centro hospitalario de Carcasona. Ella sufre quemaduras graves. Podría ser impulsado a la Lapeyronnie CHU de Montpellier o Toulouse, en el día.

Carcassonne beraubt seiner Tochter für eine Woche, eine Mutter Verbrennungen durch Feuer


Carcassonne beraubt seiner Tochter für eine Woche, eine Mutter Verbrennungen durch Feuer





abbild abbildung



Midilibre.fr

Heute Morgen um ca. 09:30 eine Frau 47 ist durch das Feuer innerhalb des Gesundheitszentrums von Carcassonne, Palace Street, protest gegen die Entscheidung über das Sorgerecht für seine Tochter zu berauben ausgesetzt ist.



Die Mutter, die nicht sehen konnte, ihre Tochter für eine Woche eingegeben die Räumlichkeiten, es wird gesprüht, der Bauch und der unteren Extremitäten von Alkohol zu brennen und es ist gegen Feuer verblüfft Mitarbeiter.





Sie wurde vor Ort Notfall geheilt und wurde schnell in das Centre hospitalier de Carcassonne transportiert. Sie erleidet schwere Verbrennungen. Es könnte an der CHU-Lapeyronnie von Montpellier oder Toulouse am Tag betrieben werden.

Carcassonne deprived of his daughter for a week, a mother Burns by fire

Illustration image

Carcassonne deprived of his daughter for a week, a mother Burns by fire

Midilibre.fr

10/02/2012, 10: 46 am | Created on 10/02/2012 updated, 11: 15 pm



This morning, at approximately 9: 30 a.m., a woman 47 is is subjected by the fire inside the health centre of Carcassonne, Palace Street to protest against the decision to deprive it of the custody of his daughter.



The mother, who could not see her daughter for a week entered the premises, it is sprayed the abdomen and the lower limbs of alcohol to burn and it is against fire dumbfounded employees.





She was cured emergency on-site, and was transported quickly to the Centre hospitalier de Carcassonne. She suffers serious burns. It could be driven to the CHU Lapeyronnie from Montpellier or Toulouse in the day.

jeudi 9 février 2012

A TOUTES ET A TOUS VENEZ NOMBREUX ET NOMBREUSES A LA COURS D'APPELLE DE PARIS LE MARDI 13 MARS A 9 H 00

COURS D'APPELLE DE PARIS A PARIS

BONJOUR A TOUTES ET A TOUS VENEZ NOMBREUX ET NOMBREUSES A LA COURS D'APPELLE DE PARIS LE MARDI 13 MARS A 9 H 00 A PARIS DEVANTS LE TRIBUNAL VENEZ NOMBREUX ET NOMBREUSES POUR NOUS SOUTENIR ET FAIRE EN SORTE QUE NOTRE PETIT ANGE QUE NOTRE FILLE NOELLINE RENTRE A LA MAISON AVEC SONT PAPA ET SA MAMAN ONT COMPTE SUR VOUS MERCI A TOUTES ET A TOUS

mardi 7 février 2012

citaition

Aliénation parentale - Le Journal des psychologues Février 2012

Jean Marie P a créé un document.
Aliénation parentale - Le Journal des psychologues Février 2012
Nous avons le plaisir de vous adresser les références du dossier spécial consacré au "SYNDROME D'ALIENATION PARENTALE" publié dans le Journal des Psychologues du mois de Février 2012.
Nous vous invitons à diffuser ce dossier le plus largement possible autour de vous.
------------------------------------------------...------
Le Journal des psychologues, n° 294, Février 2012
http://www.jdpsychologues.fr/

DOSSIER :
L'enfant sous emprise : le Syndrome d'aliénation parentale
Un Syndrome d'aliénation parentale ?, p. 18 Delphine Goetgheluck
Le Syndrome d'aliénation parentale. Une forme moderne de l'inceste, p. 20 Bénédicte Goudard
L'Îlot délirant chronique, p. 25 Yannick Boutet
Un syndrome à définir, p. 28 Sylvie Amourette L'aliénation parentale : info ou intox ?, p. 33 Jean-Yves Hayez

lundi 6 février 2012

Alertre distarue Urgent : A diffuser le plus largement possible.

Urgent : A diffuser le plus largement possible.


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En attente de plus de renseignements

Jennyfer 13 ans a disparue dans la nuit du 4 Février 2012 dans le Val de Marne à Villeneuve-le -Roi vers 2 heures du matin.
... Elle est partie avec son petit ami qui a volé un véhicule
Clio 2 grise immatriculée : 7341ZH 94
Si vous avez des renseignements veuillez contacter la gendarmerie la plus proche





by Xavier collar





Such police officers more occupied to verbalize that stuck the big traders, child social workers ignore the framework of what should be their prerogatives. As a result, the misconduct of child welfare services multiply: martyrs toddlers unprotected hand, undue investments on the other.









Despite a number of cases of sexual abuse of a minor, the profession has yet not the bad press it deserves in France. She continues to encourage vocations in the layers of a people loving social and ignorant transformation just about everything the normal functioning of families. Associations social workers, officials of ESA (child welfare), the PJJ (Judicial Protection of youth) investigators, social workers, various psychologists and other auxiliary of childhood are indeed in an ambiguous relationship with the parents. Expected to provide support, these stakeholders are often in charge of social cases they try to fill gaps, the award of financial assistance and the stick of placement measures.



If some of them carry out their mission with integrity and without a priori, this part is that too minority. The other, either ultra-syndiquée to the extreme left, foolishly is complicit in the first, imposes its educational mink relatives sometimes ill-treated or who deal with situations of delinquency. Lack of parental involvement, it must be that children are educated, even if in this case the provided precepts are questionable.



It is very different when more and more put parents on the spot are not the "problem families" ordinary. Abuse charged depriving them of their natural role are then regularly derived from very different educational principles of those proclaimed in seminars of the child protection associations.



Will be incriminated the facts of deprivation of output or chat on MSN, non-degrading punishments or rewards on school results systems, monitoring of the attendance, the use of a little too extended vocabulary parents,... each item as, according to them, constituting inadmissible school pressure causing stress and an elitist conformism that should suppress. Will be also addressed the positions to take in conflicts between divorced parents which is visibly "coolest" and "progressive" than the other.



It will also address the risks in slanderous denunciations treatments: who is wrong, who is right and is it really important in a situation of school stress (for example) found alarming by the social investigator? The issue does not really arise, what counts is to interfere with the functioning of families.



The Galaxy of social workers is not infallible and when it appears in media just accustomed to their contact, two attitudes host. Either parents, highlights of their clear conscience, are not preparing for what will happen them, ignorant of such multi-purpose social investigators rarely leave without relief. Either parents engage in this exercise in fear and guilt.



The carefree eventually also quickly adopt this second attitude as for a family has nothing to blame its practices to the outbreak of the social worker who judge based on its own criteria psycho-bourdieusiens, it is a little custody. The test will not end without having to drop a few confessions and to a rule self-critical. After all, that has absolutely nothing to be blamed, what parental couple is exemplary, ever, squabbling raise never voice? Or concede some mistakes, parents will be non co-operating, even crazy dangerous and their children will be quickly resolved.





"Who is wrong, who is right and is it really important in a situation of school stress (for example) found alarming by the social investigator?" The issue does not really arise, what counts is to interfere with the functioning of families. »







This threat will quickly soar elsewhere and therefore non-defaulting parents undergoing this type of test are often brought to cooperate in thinking thus limit the damage. Cooperate without ulterior motive is still not the best solution, because there are associations, groups of parents who can help by indicating errors not to do and the ways to defeat small Torquemada of the social.



However, parents are not necessarily desire to return as their third party creates a true state of shock which leads them to doubt themselves and to believe, deep error, in the educational expertise of their inquisitors. Once the foot geared for confidence, they can if overwhelm and thus to give the way to put in place a source able to financing for social workers. The jackpot is the investment to EUR 6 000 per month per head of pipe. But an investment on two is abusive according to the breadcrumb. No matter, this allows to live of many educators and social workers with the complicity of magistrates which entérinent applications for investments and accredit files to load.



The psychological damage to the parents and children are irreversible. But as important as social workers posts are generated and the quartering of the progeny can exclude parents as referents. Children are difficult to recoverable and can be extracted from "bourgeois backgrounds" to become much more malleable to the aberrant ideas of educators.



The destructuring of the family will be also denounced by responsible parents, but most of the time in a clumsy way, thus allowing the social worker to admit that the intention of the intervention is always good even if its effects are (unusually) disastrous.



Among many example, I can cite a psychologist who questioned the clumsiness of a wife to to be entrusted to an intrusive ear. The informant, very active in solidarity so-called associative media, becomes, according to the psychologist expressed, the product of a society that has changed since George Bush's reaction to the attacks of September 11 and Sarkozy retention of security legislation. All elements, according to her, in the meaning of the Suppression of the parents. Biased social workers become victims of the lack of means and a reduction of the credit policy.



This ex post facto explanation seems particularly carrier lessons on how parents are treated and considered. A double goat-emissary appears here: the other parent, history to break the couple; and the Government, history to establish complicity of nature policy with the parent need a hand tense whatsoever.



With a minimum of decline, "extenuating circumstances" of social workers are stupid. They did not wait a safe climate around a new danger nickname, simply implement a "precautionary principle" in their sauce against the influence of the bourgeois family institution. They worry less experience of children provided social and cultural families. Thus, the parents guilty of "school pressure" are no less dangerous than the lunatics end up sinking their offspring in the concrete. They will therefore denounce this trial in danger even though - and need to make this clear - their sole legitimate reason to act, objective and unavoidable reason in any civilized society.



Victims are not innocent for social workers, because their educational mode non-deviant would not sufficiently fulfilling according to their vision of the free child in the collective nursery. These principles are, however not too put forward as they may shock. However, it must also gain understanding from parents, even if dividing roles between social workers flagellateurs and consolants. It must be said in effect that a destructured family becomes a potential ally.



Some workaholics lamenteront hypocritically too expeditious procedure of other perpetrators who did that obey, and now the parents encouraged to express their dissatisfaction or even their disobedience to the Government. Criminals know is to blame for their crimes on those who are supposed to control them. They here act as activators of a syndrome of Stockholm by redirecting the anger of the victims non-families against their cliques, but against an Executive supposed to put an end to practices of abduction to political settlement.



Hat the bastards, as seen from any point of view best parents, whose children for their misfortune was reformatted in future covered by social assistance, manifest for that additional means are provided to social workers. Parents which could not be faulted and against which any correctional procedure cannot succeed, is are found elbow to elbow with which them have slandered that Government take them more as taxpayers to perpetuate the inquisition they suffer! And I say keep it, because supported so, small Torquemada scare even the Government, who dares even to question the mafia of welfare, lest they parents victims to intervene between justice and their executioner!

vendredi 3 février 2012

info à faire circuler solidarité Spoons Sushi offre à tout SDF midi et soir


info à faire circuler solidarité Spoons Sushi offre à tout SDF midi et soir une soupe bien chaude et un riz Thai bien garni.
Christel Lorentz
Message fort utile :
A faire tourner - Spoons Sushi offre à tout SDF midi et soir une soupe bien chaude et un riz Thai bien garni. Si vous connaissez ou rencontrez une personne qui dort dehors, donnez lui notre adresse 22 RUE PIERRE TIMBAUD 92230 GENNEVILLIERS

L’appel au secours de Mallaury Nataf


L’appel au secours de Mallaury Nataf Saint-Ouen (seine-saint-denis), hier. Après avoir connu la célébrité et le succès à la télévision, Mallaury Nataf vit maintenant bien loin des projecteurs. « Je suis SDF depuis mars », confie-t-elle. ( (LP/E.B.) )ÉRIC BUREAU | 03.02.2012, 07h33
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Qui l’aurait reconnue sous son bonnet, sa doudoune fatiguée et son jean trop grand ? Et comment l’imaginer sous les traits tirés d’une SDF tirant son cabas dans le froid ? C’est pourtant bien Mallaury Nataf, 39 ans, l’ancienne héroïne du « Miel et les abeilles », la tonitruante candidate de « la Ferme Célébrités 2 », qui a poussé la porte de notre journal hier matin, comme on jette une bouteille à la mer. « Je n’ai plus rien. Mes trois enfants m’ont été retirés. La brigade des mineurs m’a pris le plus petit samedi et l’a placé auprès de l’aide sociale à l’enfance. Depuis, il est à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul, à Paris, qui m’a appelée pour me dire qu’il pleure sa maman », explique-t-elle. Le hasard a voulu que notre siège se trouve à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), entre l’association d’aide aux personnes en difficulté qui l’a recueillie dimanche et le Secours islamique, où elle allait chercher de quoi manger.

« Je suis SDF depuis mars, poursuit-elle, lorsque j’ai dû laisser mon compagnon, victime d’une rupture d’anévrisme, et quitter mon appartement. Et depuis dix semaines, j’allais avec mon fils Shiloh, 2 ans et demi, d’hôtels de banlieue en logements amicaux. Le 115, je connais. »

La descente aux enfers ne date pas d’hier. « Après la Ferme Célébrités, j’ai choisi de me consacrer à mes enfants. Mais, les quatre premières années, j’ai été une très mauvaise mère avec Rafaël. J’ai toujours été élevée comme une princesse, très narcissique. J’ai fait l’objet de deux longues enquêtes sociales, j’ai reconnu mes torts, j’ai décidé d’apprendre et j’ai été suivie par un psy. Et mes enfants sont restés avec moi. Je les ai élevés seule. »

Jusqu’à l’été 2010, où les deux premiers, Rafaël, 13 ans, et Angeline, 11 ans, lui ont été retirés. Ils vivent depuis chez leurs pères respectifs. « Mon seul tort est d’être juive orthodoxe pratiquante. Il y a quatre ans, je suis tombée amoureuse d’un homme croyant, Abraham, qui a révélé mon judaïsme et celui de ma mère. Un bonheur pour moi. Mais les pères de mes enfants, mes parents, mes amis m’ont rejetée », assure-t-elle.

La comédienne a élevé ses enfants dans la religion, mais se défend de les avoir privés de liberté. « Mon judaïsme est ouvert sur les autres. Et je n’ai jamais interdit à mes enfants de jouer à la Wii, de lire ou de regarder la télé. Rafaël et Angeline sont très bien intégrés, ont toujours eu d’excellentes notes à l’école. » Mallaury raconte sa quête spirituelle : « J’ai toujours été attirée par le sacré. Depuis l’âge de 21 ans, j’ai été chrétienne très pratiquante. J’allais à Lisieux et Lourdes chaque année. Et cela n’offusquait pas mon entourage. Alors qu’aujourd’hui je me retrouve seule au monde. Le métier me fuit. Seuls quelques esprits libres, comme Agnès Soral et Gérard Depardieu, me tendent la main. Et la communauté juive me rejette. » L’association Pause-Café, qui lui prête un appartement à Saint-Ouen, est en train de monter un dossier avec son avocate. « J’ai été touchée par son histoire, elle en a bavé, avoue sa présidente, Marie Magrino. Maintenant qu’elle a un hébergement d’urgence, nous allons tout faire pour qu’elle retrouve son enfant. »
VIDEO. Le générique de la série «Le miel et les abeilles»

jeudi 2 février 2012

QUOTE of the day attention combine




"A pig is called to designate what is the best singer between a Raven and a Nightingale." The pig violently critical the Nightingale and chooses the Raven. "The Nightingale melts in tears, and later explain to his friends that it was not to lose the competition which made him sad, but the fact of having been tried by a pig."

Spruch des Tages aufmerksam kombinieren


"Ein Schwein wird aufgerufen, um festzulegen, was ist die beste Sängerin zwischen einen Raben und eine Nachtigall." Das Schwein heftig kritisch die Nachtigall und wählt den Raben. "Die Nachtigall in Tränen schmilzt, und später erklären, seine Freunde, die war es nicht, den Wettbewerb zu verlieren, der ihn traurig gemacht, aber die Tatsache, dass ein Schwein ausprobiert worden."

citation du jour a l'attention B.L


« Un cochon est appelé à désigner quel est le meilleur chanteur entre un corbeau et un rossignol. Le cochon critique violemment le rossignol et choisit le corbeau. Le rossignol fond en larmes, et expliquera plus tard à ses amis que ce n’était pas de perdre le concours qui le rendait triste, mais le fait d’avoir été jugé par un porc ».

Priorities for UNICEF in Madagascar 900,000 children back to school

Priorities for UNICEF in Madagascar



900,000 children back to school

Thursday February 2, 2012



Steven Lauwerier, resident representative of UNICEF.

"We will continue our efforts and commitments for the development of children in Madagascar." To do this, we must still address many challenges. "Our priorities for the next years are education and health, among others, bring closer to 900,000 children in school, strengthen for routine for children, strengthen the nutrition of children, the maternal health, increase investment in adequate water and sanitation infrastructure, strengthen the protection of children against abuse, violence and operations, improve the participation and expression of youth"; These are the words of the new resident representative of UNICEF, Steven Lauwerier, this Wednesday, February 1, when he submitted figurées copies of letters of cabinet to the Minister of Foreign Affairs, Pierrot Rajaonarivelo.



Steven Lauwerier arrived in Madagascar in early January, 2012, in a context where the political crisis that rocked the country for three years is not yet complete. The impact of this crisis on children in Madagascar are considerable, and are undermining progress in health, education, water and sanitation: 72 out of 1,000 children die before reaching their fifth birthday; one child in two child has growth retardation due to chronic malnutrition; children have poor access to drinking water and latrines: a family three uses water from improved sources of water and only one in ten households use latrines and adequate sanitary facilities in the rural areas; many children have left school.



Prior to his position at Madagascar, Steven Lauwerier was Deputy Representative of UNICEF in Kinshasa, Democratic Republic of Congo, where he contributed to the management and coordination of one of the most important programmes of UNICEF. Steven Lauwerier served UNICEF in many countries where the issues of childhood are profound: Democratic Republic of the Congo, Côte d'Ivoire, Iran, Somalia. Steven Lauwerier began his career in the United Nations as a volunteer with the World Food Programme (WFP), in the context of humanitarian emergencies characterized by drought in the Northwest of the Kenya. He also worked for the world Organization of the Kenya health, CARE International in South Sudan, and for doctors without borders in Angola, Rwanda and Kosovo/Serbia.



Collected by Bill

Priorités de l’UNICEF à Madagascar 900 000 enfants à ramener à l’école

Priorités de l’UNICEF à Madagascar

900 000 enfants à ramener à l’école
jeudi 2 février 2012

Steven Lauwerier, représentant résident de l’UNICEF.
« Nous allons poursuivre nos efforts et nos engagements en faveur du développement des enfants à Madagascar. Pour cela, nous devons encore adresser de nombreux défis. Nos priorités pour les prochaines années sont l’éducation et la santé, entre autres, ramener près de 900.000 enfants à l’école, renforcer la vaccination de routine pour les enfants, renforcer la nutrition des enfants, la santé maternelle, accroitre les investissements dans les infrastructures d’eau et d’assainissement adéquates, renforcer la protection des enfants contre les abus, les violences et les exploitations, améliorer la participation et l’expression des jeunes » ; tels sont les propos du nouveau Représentant résident de l’UNICEF, Steven Lauwerier, ce mercredi 1er février lorsqu’il a présenté les copies figurées des lettres de cabinet au ministre des Affaires étrangères, Pierrot Rajaonarivelo.

Steven Lauwerier est arrivé à Madagascar au début du mois de janvier 2012, dans un contexte où la crise politique qui secoue le pays depuis trois ans n’est pas encore terminée. Les impacts de cette crise sur les enfants à Madagascar sont considérables et mettent à mal les progrès réalisés en matière de santé, d’éducation, d’eau et d’assainissement : 72 enfants sur 1,000 meurent avant d’avoir atteint leur cinquième anniversaire ; un enfant sur deux enfant a un retard de croissance dû à la malnutrition chronique ; les enfants ont un pauvre accès à l’eau potable et aux latrines : une famille sur trois utilise l’eau des sources d’eau améliorées et seulement un ménage sur dix utilise des latrines et des installations sanitaires adéquates dans les zones rurales ; de nombreux enfants ont quitté l’école.

Avant son poste à Madagascar, Steven Lauwerier a été Représentant adjoint de l’UNICEF à Kinshasa, République Démocratique du Congo, où il a contribué à la gestion et à la coordination de l’un des plus importants programmes de l’UNICEF. Steven Lauwerier a servi l’UNICEF dans de nombreux pays où les problématiques de l’enfance sont profondes : République Démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Iran, Somalie. Steven Lauwerier a débuté sa carrière au sein des Nations Unies en tant que Volontaire auprès du Programme Alimentaire Mondial (PAM), dans un contexte d’urgences humanitaires marqué par la sécheresse au nord-ouest du Kenya. Il a également travaillé, pour l’Organisation Mondiale de la Santé au Kenya, CARE International au Sud Soudan, et pour Médecins Sans Frontières en Angola, Rwanda et Kosovo/Serbie.

Recueilli par Bill

mercredi 1 février 2012

Un garçon de 8 ans se suicide à Saint-Ouen


Un garçon de 8 ans se suicide à Saint-Ouen
janvier 31, 2012 par lagazettedeputeaux | Modifier

Un garçon de 8 ans se suicide à Saint-Ouen
Par LEXPRESS.fr,

Les pompiers ont tenté, en vain, de le ranimer.

afp.com/Loic Venance

L’enfant s’est suicidé par pendaison, ce mardi, en Seine-Saint-Denis. Il a été retrouvé par ses parents.

Un garçon de 8 ans s’est suicidé par pendaison ce mardi à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis.

L’enfant s’est donné la mort à son domicile mardi après-midi, a indiqué le parquet de Bobigny. Il a été retrouvé par ses parents, qui sont très choqués, a ajouté une source policière. Les pompiers ont tenté, en vain, de le ranimer, a poursuivi cette source.

Selon l’Inserm, 37 enfants et pré-adolescents de 5 à 14 ans se sont donné la mort en 2009.

Un garçon de 8 ans se suicide à Saint-Ouen

Alerte au suicide chez les plus jeunes

Alerte au suicide chez les plus jeunes


Une dizaine de passages à l’acte d’adolescents, dès 12 ans, a eu lieu depuis le début de l’année. Les associations veulent alerter les candidats à la présidentielle.
Florence Deguen




Pauline, Damien, Oscar… Les prénoms s’enchaînent et finissent par composer une liste insoutenable : celles des adolescents qui se sont donné la mortdepuis le début de l’année. Une dizaine de suicides violents, soudains, sidérants, chez des « presque enfants », à l’image du collégien de 12 ans qui s’est jeté sous un train mercredi soir en gare d’Aix-en-Provence.






Malheureuse loi des séries ou effrayante épidémie? Les spécialistes sont perplexes eux aussi.

En préambule à la Journée nationale de prévention du suicide, le 7 février, l’association Phare Enfants-Parents* va donc demander aux candidats à la présidentielle de s’engager. Dans une lettre ouverte qui leur sera adressée la semaine prochaine, elle leur rappellera notamment que le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes en France juste après les accidents de la route… alors que le budget de la sécurité routière est trente fois supérieur à celui consacré à la prévention du suicide.

La corde ou l’arme à feu comme moyens, le dépit amoureux ou le harcèlement comme causes : les adolescents semblent désormais calquer leur désespoir sur celui des adultes, jusqu’à choisir massivement, comme eux, ce mois de janvier froid et sombre qui succède aux fêtes de famille tendues ou solitaires.

« Les suicides des jeunes n’augmentent pas et seraient même plutôt en baisse » avance Thérèse Hannier, présidente de l’Union nationale pour la prévention du suicide. « On reste autour d’une trentaine par an pour les moins de 15 ans, contre 600 environ pour les 15-24 ans. Mais les chiffres les plus récents datent de 2009 et c’est vrai qu’on constate tous un net rajeunissement du mal-être… et ça, c’est très préoccupant. » Sur la ligne d’écoute de l’association Phare Enfants-Parents, dont elle est à l’origine, il n’est plus rare qu’une maman affolée appelle parce que sa fille de 8 ans lui dit « qu’elle veut mourir ». Ou un papa désemparé dont le fils de 10 ans et demi a tous les symptômes d’une grave dépression. Les clignotants s’allument de plus en plus tôt, au travers de conduites à risques qui sont très évocatrices lorsqu’elles se répètent : scarification, jeu d’étranglement, alcoolisation massive… « Il ne faut pas créer une psychose et dire aux parents : attention, en ce moment tous les enfants sont suicidaires! » insiste cette grande militante de la prévention du suicide. « Mais ces SOS précoces ne doivent pas être pris à la légère. Ils sont là pour nous interpeller et c’est aux adultes de réagir. Pourquoi nos enfants sont-ils imprégnés d’une telle violence? On est dans une société morbide, même les clips de prévention du suicide sont sanguinolents! Il y a un énorme ménage à faire dans la formation et l’information. »

* Phare enfants-parents : 0.810.810.987.

Les signes qui doivent inquiéter
Certains comportements peuvent permettre de détecter un mal-être chez certains enfants et adolescents.

Il y a toujours des signes… C’est à la fois terrible et rassurant : pour le psychiatre Xavier Pommereau, qui reçoit de nombreux gamins en détresse à la maison des adolescents de Bordeaux, un enfant ou un adolescent à risque suicidaire envoie toujours des signaux préalables… « Même si l’entourage n’est pas forcément le mieux placé pour les percevoir, les parents sont souvent effarés de n’avoir rien vu », reconnaît-il. Il n’empêche : proches, profs, copains peuvent repérer que ça ne va pas. En cas de doute, il ne faut pas hésiter à sonder les tiers. D’où l’intérêt d’être tous sensibilisés au risque.

Ce qui alerte : la répétition. Il faut distinguer l’ado gothique qui va se saouler une fois dans l’été, mais reste globalement joyeux et entouré d’amis… et celui qui broie du noir à longueur de journée, vide régulièrement une bouteille de vodka seul dans sa chambre puis se met en danger en montant sur le toit, celui qui finit systématiquement les soirées ivre mort… « Toutes les conduites de ruptures répétées sont alarmantes, assure le psy. Surtout si elles s’additionnent au propre comme au figuré : la gamine qui part sans dire où elle va, se scarifie, se coupe du monde, a des accidents fréquemment, se déchire le samedi soir. »

Les raisons sont toujours profondes. On ne se suicide pas pour un chagrin d’amour, une brimade ou une mauvaise note en maths… « A 13 ans une histoire d’amour dure trois semaines et la rupture fait partie du quotidien », rappelle le psy. Heureusement, rares sont les ados amoureux éconduits qui se suicident… Mais pour certains, qui vont très mal par ailleurs, c’est un facteur déclenchant. « Derrière tous les suicides, il y a une cause profonde, traumatique, quelque chose qui attaque l’identité : orientation sexuelle mal assumée, violences sexuelles subies dans l’enfance, flou identitaire lié à une adoption ou à un secret de famille, handicap ou complexe physique. »

Le suicide n’est pas contagieux. Pour Xavier Pommereau, ce n’est pas le fait d’en entendre parler autour d’eux ou dans les médias qui donne des idées de suicide aux jeunes, même aux très jeunes. Ils sont éventuellement influencés par la noirceur du monde dans lequel ils vivent, par des héros négatifs, mais ce n’est pas parce qu’un gamin s’est suicidé la veille à l’autre bout de la France qu’un autre va oser passer à l’acte lui aussi. « En revanche, ce qu’on surveille de près, conclut-il, ce sont les rendez-vous macabres. Des rencontres fortuites, souvent sur Internet, entre des jeunes qui vont mal et qui se donnent mutuellement le courage de passer à l’acte. »



Le Parisien

info Benjamin et de son fils Aureo (sefca puteaux solidaire du papa)

Cédric Fleurigeon http://www.facebook.com/event.php?eid=264268448591 Nous demandons à tous pendant une journée, le samedi 30 janvier 2010 de changer la photo de votre profil par celle de Benjamin et de son fils Aureo Il serait bon de voir fleurir cette photo sur la toile que se soit sur Facebook, MySpace, MSN ainsi que sur tous les méd